par Mathias RICH et Kévin AUDEBET
étudiants en BTS gémeau à l’ENIL de Mamirolle (25)
natureaddict / Pixabay
Dans la sociétéactuel l’information arrive de plus en plus vite grâce à de très nombreux supports notamment numérique et télévisuel. L’information influence les mentalités, véhiculant sans soucis des clichés tel que la femme mince et parfaite ou l’homme dans sa voiture sûr de lui. Les jeunes n’échappent pas à ce regard étroit qui est certes issus de différentes analyses mais qui est très souvent utilisé de la même manière. On voit trop souvent des jeunes d’origines maghrébine ou africaine en bas des blocs pour dépeindre la misère des banlieues. Des jeunes dont on hyperbolise l’insouciance, les rapports au sexe ou une addiction prépubère et irresponsable aux jeux vidéo. De quelques manières que ce soit les propos rapportés sont très souvent à connotation négatives ou sont accompagnées de précision comme si les jeunes ne pouvaient pas s’exprimer d’eux même. De fait cette jeunesse incertaine comprise “entre 15 et 25 ans » limite tout à fait arbitraire, qui en réalité s’arrête une fois que le jeune prend son indépendance, cette jeunesse se retrouvent ainsi souvent catégorisé. L’époque de la « jeunesse » est une étape charnière dans la vie d’une personne, elle détermine souvent qui elle a envie de devenir et le milieu dans lequel elle évolue y joue pour beaucoup. Ces informations et ces images véhiculées par les médias représentent elles les jeunes aujourd’hui ? les influences-t-elle ? influence-t-elle le regard porté sur la jeunesse ?