Aujourd’hui la voiture ne fait plus gagner tant de temps, en effet la population se dirige de plus en plus vers les villes ce qui engendre une population croissante. Mais est-ce un problème de nos jours ? Comment y faire face ? En effet «vivre en ville ne signifie pas nécessairement air pollué, congestion, bruit et long temps de transport, de nouvelles idées dans les transports urbains sont en train de rendre de nombreuses villes plus saines et plus agréable a vivre » comme le souligne Hans Bruynincks (AEE).
Mais en quoi la qualité de la politique de transport est elle un atout pour l’attractivité des villes ?
Nos lectures et réflexions nous on amenés à dégager trois axes principaux pour répondre à la question posée ci-dessus, ainsi nous nous intéresserons en premier lieux à la mise en place des politiques de transports, puis à l’impact que celles-ci ont sur l’environnement ainsi que sur la vie sociale et économique.
Depuis quelques années l’écologie est au centre de toutes les préoccupations. Les pouvoirs publics nous demandent de faire des économies d’énergie en évitant de prendre la voiture dans la mesure du possible, en éteignant la lumière en sortant des salles ou encore en utilisant des sacs réutilisables pour faire les courses. Le logement est un lieu où beaucoup d’énergie est utilisée donc, un lieu où il y a beaucoup de pertes. Il est donc important de faire des économies en isolant ou en utilisant des systèmes qui permettent de réduire la consommation. Le mieux étant de construire un logement écologique car grâce à ce dernier on peut économiser beaucoup d’énergie. Par logement écologique on peut entendre logement basse consommation ou logement passif. On peut donc se demander : la généralisation de l’architecture urbaine écologique : un trop grand coût ? Pour répondre à cette question nous allons voir que le coût de construction est peu élevé puis nous verrons que le coût d’entretien est faible et enfin que la consommation d’énergie est presque nulle.