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Consommation d’énergie renouvelable : les éoliennes

Énergie éolienne en France depuis ces 20 dernières années.

L’énergie éolienne est un bien pour l’économie de la société mais elle peut nuire à l’environnement

Depuis ces 20 dernières années, les éoliens terrestres se développent en France. Une origine d’emplois et de croissance, l’énergie éolienne est avant tout une énergie renouvelable, propre, sûre et inépuisable. Notre époque est en mouvement, et nous sommes en train de passer de l’ancien monde à un monde nouveau. 

Production d’énergie en progression grâce aux éoliennes

Le secteur de l’énergie éolienne en France a pris progressivement de l’importance : en 2020, sa part dans la production nette d’électricité du pays atteint 7,6 % et le taux de couverture moyen de la consommation par la production d’origine éolienne a été de 8,8 % en 2020 après 7,2 % en 2019 et 5,9 % en 2018. Des évolutions technologiques ont notamment entraîné un quadruplement de la puissance des éoliennes depuis les années 2000, elles permettent de diminuer de façon continue les coûts de production du MWh éolien et d’accéder à des sites présentant des gisements de vent plus faibles. Depuis les débuts de l’éolien en France, les caractéristiques techniques des éoliennes connaissent une progression technologique soutenue.

Atouts et inconvénients des énergies éoliennes

L’énergie éolienne fait partie des énergies renouvelables, mise en place par la transition énergétique. Elle a pour but de lutter contre le réchauffement climatique en développant des énergies qui permettent de moins recourir à des moyens de productions exploitant des ressources fossiles. La France possède en effet le 2eme gisement éolien d’Europe ce qui augmente son taux d’énergie naturelle, propre et écologique. L’éolien est un des moyens de production d’électricité les moins émetteurs de gaz à effet de serre (12,7gcO2/kWh sur l’ensemble du cycle de vie d’une éolienne). Les éoliennes remboursent l’énergie qui a été nécessaire à leur construction en moins de 12 mois. On peut donc dire que c’est une énergie verte.Ces éoliennes peuvent être démontées pour être recyclées, elles peuvent être recyclable à 90 %. On peut voir 3 grands inconvénients majeures des éoliennes, l’énergie éolienne peut être imprévisible. En effet, les vents sont difficiles à anticiper et il faut savoir que, si une éolienne a besoin d’un vent minimum pour démarrer, elle s’arrêtera de fonctionner en cas de vents supérieurs à 90 km/h. Cette énergie est bruyante, elle perturbe les riverains qui habitent à proximité du parc éolien, mais aussi les éoliennes envoient des ondes à infrasons ce qui perturbent le comportements de certains bovidés. Enfin, les pales d’éoliennes représentent un danger pour les oiseaux. Effectivement, Les oiseaux ne distinguent pas les pales d’éoliennes lorsqu’elles sont en rotation, et entrent en collision avec ces dernières.

Enjeux de l’énergie éolienne pour le futur

Dans les années à venir, l’énergie éolienne va avoir un rôle important dans les bilans énergétiques français et européens. Pour que l’énergie éolienne se développe encore plus, certains défis sont à relever, grâce à des innovations techniques. Tout d’abord, on cherche à faire chuter les coûts afin de rendre ce mode de production d’énergie plus compétitif. Ensuite, on cherche à innover afin de mieux gérer le fait que cette source d’énergie soit irrégulière. En effet, les variations de puissance du vent induisent des variations dans la production d’énergie ainsi que de potentiels arrêts s’il n’y a pas assez de vent ou s’il y en a trop. Au delà de 100 km/h, elle s’arrête pour se mettre en sécurité et ne pas être endommagée. Cette irrégularité est commune à de nombreuses sources d’énergie, comme le solaire. On a donc appris à gérer ce phénomène, mais des améliorations peuvent permettre d’envisager de meilleurs rendements. On pourrait inventer des éoliennes qui fondront dans le paysage, les rendre plus silencieux et sans pales grâce à un système de vibrations produites sous l’effet des tourbillons d’air.

L’énergie éolienne : alliée de la société et ennemie de la biodiversité !

BARTHÉLEMY Théo, BTSA GEMEAU 1

l’article détienne des informations très intéressantes sur l’éolienne, mais on constate des manquements au niveau de la forme comme l’absence d’un accroche, d’une chute et des références.

SOW Cheikhouna

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Surconsommation de fast food dans le monde : des effets néfastes sur la santé, l’économie et la planète.

Aujourd’hui, de plus en plus de personnes dans le monde consomment ce que l’on appelle des fast food. La consommation de ceux-ci a augmenté de 2% de 2019 à 2020 et de 9.2% de 2015 à aujourd’hui. Ce qui représente une augmentation colossale au vu du nombre de personnes très élevé consommant des fast-foods. Tout ça a un impact sur la santé de la génération actuelle, sur l’environnement et sur l’économie.

Une santé qui se dégrade chez les consommateurs

Le Fast Food connaît un fort développement ces dernières années mais crée par la même occasion beaucoup de problèmes de santé dus à ce moyen d’alimentation. Il crée des problèmes de santé aussi bien à court terme qu’à long terme. A court terme cette nourriture peut avoir pour effets des lourdeurs d’esprit, léthargie et avidité et à long terme elle peut avoir pour effets l’obésité, hypertension artérielle, maladies cardiaques, diabète, dépression, troubles de la vésicule biliaire, cancers voire d’entraîner la maladie d’Alzheimer. Pour ce qui est des cancers, le risque y est vraiment élevé seulement si l’on en consomme régulièrement car notre alimentation devient trop riche en graisses et pauvres en éléments nutritionnels tels que les vitamines, les fibres…La maladie d’Alzheimer, selon des chercheurs de l’université Karolinska à Stockholm, serait favorisée par une alimentation trop grasse et riche en cholestérol. C’est aussi une nourriture qui est très calorique, ce qui va créer beaucoup de problèmes d’obésité. On peut rajouter à tout ces problèmes de santé le problème d’addiction car en effet, les fast-food ont un effet de “drogue dure” car quand on en mange, on a tout de suite envie d’en manger de nouveau.

Un environnement qui subit les conséquences de cette surconsommation

L’être humain rejette sur notre planète 1.3 milliard de tonnes de déchets durs  . Un chiffre qui est prévu à la hausse pour les années qui arrivent. Les fast-food contribuent énormément à cette augmentation, car les fast food produisent énormément de déchets qui sont pour la plupart non recyclables. Pour remédier à cela, des contrats sont signés afin que les grandes chaînes de restauration rapide trient leurs déchets. Par exemple, en 2016, un accord oblige les fast food signataires à mettre en place un dispositif de tri des déchets. 70% des restaurants devront en être équipés avant la fin de l’année 2019. Puis, le pourcentage devra grimper à 90% d’ici le 31 décembre 2020. Les fast food concernés sont Subway, Class’Croute , Exki, La Mie Caline, La Croissanterie, Paul, Jour Healthy Groupe,, Cojean ou encore Pomme de Pain. Il y a aussi MacDonald, qui lui, s’est fixé comme objectif d’offrir la possibilité de recycler les déchets à tous les clients dans 100 % des restaurants d’ici 2025 et aussi d’instaurer 100% de déchets biodégradables.

Un business juteux qui laisse transparaître quelque problème

Les fast Food sont le business le plus rentable dans la restauration avec un chiffre d’affaires de 54 milliard d’euro en 2018 contre 86 milliard pour la restauration globale, c’est à dire plus de la moitié. Mais certaines façons de gagner de l’argent sont contestées telles que la communication ou encore la vente d’eau. L’UFC que choisir a porté plainte contre l’enseigne McDonald’s pour “Pratique commerciales trompeuses” visant les enfants car une vidéo YouTube est sortie, conçue par de jeunes influenceurs qui a pour but de créer un faux restaurant McDonald’s chez eux. Cette vidéo pourrait paraître anodine, mais pour l’association des consommateurs, ce serait une publicité caché visant les plus jeunes avec comme argument principale« munis d’impeccables emballages estampillés McDo, ou déballent des colis “surprises” dont ils ne manquent pas, entre deux remerciements appuyés à leur généreux bienfaiteur, de détailler les jouets à retrouver dans les Happy Meal… avec rappel des dates de disponibilité ». Il y a aussi eu un autre scandale avec McDonald’s, car depuis peu, l’eau en bouteille a été remplacée par de l’eau filtrée pour des raisons écologiques. Le problème est que  selon les témoignages, dont celui d’un gérant de restaurant filmé en caméra cachée par France Info, l’Eau by McDo ne serait rien d’autre que de l’eau du robinet, «filtrée plus plus plus». Ce qui fait donc opposition à l’arrêté du 8 juin 1967 qui impose aux restaurateurs de fournir une carafe d’eau gratuitement avec le service d’un repas.

De Biasi Antoine

Maxime Ballay

Références

-L’UFC-Que choisir porte plainte contre McDonald’s pour des « pratiques commerciales trompeuses » visant les enfants. Disponible sur https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/10/13/l-ufc-que-choisir-porte-plainte-contre-mcdonald-s-pour-des-pratiques-commerciales-trompeuses-visant-les-enfants_6098153_4408996.html

-McDonald’s défend sa nouvelle offre d’eau du robinet filtrée… et payante. Disponible sur https://www.lefigaro.fr/societes/mcdonald-s-defend-sa-nouvelle-offre-d-eau-du-robinet-filtree-et-payante-20210927

-McDonald’s : Statistiques mondiales en temps réel. Disponible sur https://www.planetoscope.com/entreprises/mcdonald

-Why McDonald’s is Stepping Up On Packaging and Waste Reduction. Disponible sur https://www.worldwildlife.org/blogs/sustainability-works/posts/why-mcdonald-s-is-stepping-up-on-packaging-and-waste-reduction

-Les (mauvais) effets des fast-foods sur votre corps. Disponible sur https://www.lequipe.fr/Coaching/Bien-etre/Actualites/Les-mauvais-effets-des-fast-foods-sur-votre-corps/871217

-Une étude alerte sur les «apports nutritionnels dégradés» en restauration rapide. Disponible sur https://www.lefigaro.fr/societes/une-etude-alerte-sur-les-apports-nutritionnels-degrades-en-restauration-rapide-20210225

-Danger alimentaire Fast Food. Disponible sur https://www.dangersalimentaires.com/2010/12/fast-food/

-Les emballages de fast-food seraient toxiques. Disponible sur https://www.topsante.com/medecine/environnement-et-sante/perturbateur-endocrinien/les-emballages-de-fast-food-seraient-toxiques-615633

-Les Français de plus en plus accros au fast-food. Disponible sur https://www.capital.fr/conso/les-francais-de-plus-en-plus-accros-au-fast-food-1395225

-Les chaînes de fast food vont enfin trier leurs déchets. Disponible sur https://business.ladn.eu/experts-metiers/marketing-communication/communication/corporate/developpement-durable/fast-food-tri-dechets/#:~:text=L’accord%20oblige%20les%20fast,ici%20le%2031%20d%C3%A9cembre%202020

C’est un article très intéressant qui nous montre les coté négatif des fast Food. Je trouve cet article très bien détailler tout en étant concis et nous met en garde contre une tendance qui ne fait qu’évoluer. C’est un très bon travail. VANDENBUSSCHE Antoine

Cet article est très intéressant nous apprend prend des choses sur la fast-food. Nous pouvons voir l’investissement des fast-food pour s’instaurer dans le développement durable. On sent aussi que le sujet tient à cœur aux auteurs. FOURNIER Timothé

Article claire et intéressant. On peut y voir le côté néfaste des fastfood. Super article.

FAILLENET Camille

Article claire et complet sur le fast-food. Bonne information sur le côté néfaste.

Alain BOLORONUS

Article intéressant au niveau de la nuisance des Fast Foods. Les photos le rendent très attrayant.

Prune CHAVANNE

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La consommation énergétique en France et à l’échelle mondiale : représentante de problèmes, de défis, de réponses et de nuances autant pour l’économie ou la société que pour l’environnement.

Ci-dessus la « Benz Patent-Motorwagen » ou le « le Tricycle Benz ». C’est le tout premier véhicule motorisé de l’histoire Humaine avec un grand H. Une révolution pour 1885, une époque à laquelle on ne se prenait pas encore la tête sur des problématiques « futiles » telles que l’environnement. Il est grand temps d’y remédier en abordant toutes les dimensions de ce vaste sujet qui est la consommation énergétique. Et expliquer en quoi cette surconsommation énergétique compose un problème majeur pour l’environnement et comment la rectification de ce problème représente un défi d’une complexité majeure pour les industriels ainsi que pour les dirigeants de notre pays et du monde

En quoi cette consommation est-elle problématique ?

Abordons tout d’abord les bases de cette consommation que l’on se doit de définir comme surconsommation. Selon le site planetoscope.com, on compte en France une voiture pour 1.77 personnes en âges et en capacités de conduire. Soit en réalité 36 millions de voitures. On sait évidemment qu’une voiture pollue au cours de son cycle d’activité mais également pendant la production.

On peut aussi voir le problème de notre consommation actuelle du carburant dans des mouvements de société comme en 2018 avec les ‘’gilets jaunes’’. Que l’on soit adhère ou non à leurs convictions et leurs actes, il est évident que, l’étincelle ou la goutte d’eau  a été la hausse du prix du carburant en France.

En bref les voitures posent un problème de plus en plus important à l’échelle mondiale ou nationale. On le voit d’autant plus sur l’échelle métropolitaine comme sur les cartes ci-dessous où l’on voit une corrélation facile à faire entre la volonté des grosses villes à vouloir pousser les véhicules motorisés vers la sortie et leurs taux respectifs de pollution. 

Nous le savions mais il est largement prouvé, évident et démontré que les pollutions causées par la production et l’utilisation des véhicules motorisés sont plus que problématique. Se sentant soi-disant concernées par des prises de conscience environnementales généralisées, des entreprises se sont penchées sur certaines alternatives que nous allons relever.

La force de l’être humain a sans cesse su se renouveler pour chercher des alternatives

Relevons en premier lieu les options proposées. Tout d’abord les biocarburants. Ils se définissent par des carburants produits à partir de la biomasse. Ils composent une ‘’demie alternative’’ puisqu’ils « sont généralement incorporés dans les carburants d’origine fossile », comme nous l’explique le site du ministère de la transition écologique. Ils peuvent autant s’incorporer à l’essence, on parlera alors de bioessence, qu’au gazole où il s’agira alors de biogazole. En 2019 c’est en moyenne 7.6 % du carburant qui était composé de biocarburant qu’elle que soit la filière choisie. Même si l’idée est plutôt louable, cette alternative pose des problèmes majeurs. Le premier, c’est la véritable pertinence du projet. Cela pourrait être efficace seulement si ces pourcentages augmentaient, en effet atteindre moins de 10 % de composition de biocarburants dans les carburants à énergie fossile est totalement dérisoire et encore trop faible pour observer les résultats attendus. La deuxième complexité se pose à l’échelle internationale. En effet, plutôt bonne nouvelle en apparence : les demandes de colza ou de maïs ont augmenté pour la production d’agrocarburants vu qu’ils en représentent des ingrédients majeurs. Malheureusement cela a causé des famines importantes comme évoqués dans l’article d’Angela Bolis dans « Le Monde » paru en août 2011 où elle aborde la surexploitation des sols aux grands malheurs des populations locales. Si vous vous dites de manière innocente que depuis quasiment 11 ans que cet article est sorti, le genre humain a su tirer de ses erreurs passées, vous vous trompez lourdement. En novembre 2021 c’est le peuple Malgache, à Madagascar qui, d’abord à cause du réchauffement climatique, puis de la hausse des prix du colza et du riz due à leurs utilisations dans la production d’agrocarburants, ont subi une importante famine.

Une autre alternative bien connue du monde de l’industrie automobile et désormais du grand publique concerne les voitures électriques. Souvent décrites comme une solution miracle face aux gaz à effet de serre produits par les véhicules thermiques, il est évident que l’affaire est plus complexe et moins rose que ça.

Tout d’abord à la production, une voiture électrique rejette environ 50 % de plus de co2 qu’une voiture thermique.  Cela est dû à la complexité d’extraire les composants organiques des moteurs et des batteries des véhicules électriques. On a des exemples bien connus de ces matériaux comme le cobalt ou encore le manganèse. Cependant le problème d’extraction des ressources prend encore plus de sens avec l’exemple du néodyme. C’est Guillaume Pitron, auteur de « La Guerre des métaux rares » qui nous explique qu’il faut extraire environ 91 tonnes de roches pour pouvoir purifier les 4kg de néodyme nécessaire à une seule voiture. Cela représente un coût environnemental très important sans même compter que dans la majorité des pays où on va chercher ce produit, les conditions des travailleurs sont à la limite du respect du genre humain. De plus, principalement en Chine mais pas seulement, les produits chimiques permettant de purifier ces ressources sont rejetés dans les cours d’eaux et les mers les plus proches ce qui, vous l’imaginez, peut énerver des élèves modèles en Gestion et Maîtrise de l’Eau comme nous. 

Pour résumer tout cela, il ne sert à rien de déprimer mais seulement de ne pas se voiler la face en prenant n’importe qu’elle solution apportée comme acquise et toujours pousser les entreprises et les états à se dépasser.

Ne pas abandonner et remarquer les efforts faits

            Cet article n’est pas là pour que tout le monde roule en trottinette électrique ni pour relancer une 25 e vague des gilets jaunes, je le précise. Nous désirons informer, prévenir et mettre en garde des dangers que représentent ou peuvent représenter le carburant et ses alternatives.

Nous voulons donc dans cette dernière partie relever les démarches et projets que l’on estime pertinents. Tout d’abord les vignettes crit’air qui avaient beaucoup fait parler car la majorité des personnes composant notre société sont tous de grands écolos dans l’âme mais quand il s’agit de venir dans des villes en bus l’effort se fait plus rare…

Ces vignettes ont été mises en places en 2017 et sont assez efficaces, permettant de limiter l’accès aux véhicules les plus polluants dans l’enceinte de grandes métropoles déjà assez polluées.

On a également la popularisation des voitures autonomes qui, même si elles ne résolvent pas le problème de carburant, limitent la surconsommation due à la conduite approximatives de certains conducteurs…

Tous ces efforts permettent les résultats ci-dessous.

La baisse d’émissions de carbonne en 2020 comparé à l’année 2019 par pays selon Statista.

 C’est, bien sur insuffisant, mais il faut relever un point selon moi primordial dans ce grand défi qu’est l’environnement. Que ce soit la crise du Covid, celle de la peste, la crise économique de 2007-2008 ou encore la finale de la Coupe du Monde 2018, l’Homme à toujours su relever d’innombrables défis depuis qu’il existe sur cette magnifique planète qui est la Terre.

MONNERET Guillaume

BURNICHON Oscar

Références

https://fr.wikipedia.org/wiki/Benz_Patent_Motorwagen

https://www.planetoscope.com/transport/automobile#:~:text=L’automobiliste%20fran%C3%A7ais%20parcourt%20en,voiture%20pour%201%2C77%20personne.

  • BETTINELI Marc, BRETONNIER Marceau. L’impact écologique de la voiture électrique. Le Monde [en ligne], 10/12/2018. [consulté 11/01/2022]. Disponible sur : https://www.lemonde.fr/climat/video/2018/12/10/la-voiture-electrique-est-elle-vraiment-plus-ecologique_5395451_1652612.html
  • BOLIS Angela, Famine : la FAO pointe les biocarburants et la surexploitation des sols. Le Monde [en ligne], 03/08/2011. [consulté 11/01/2022].

Disponible sur : https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/08/03/famine-la-fao-pointe-les-biocarburants-et-la-surexploitation-des-sols_1555498_3244.html

  • DELEPINE Justin, La voiture autonome rebat les cartes,  Alternatives économiques[en ligne], 09/2017. [consulté 11/02/2022].

Disponible sur : https://0251202w.esidoc.fr/document/id_mmf2017_449214.html

  • GIRARDIN Isabelle, Où sont fabriquées les alternatives aux carburants pétroliers dans les Hauts-de-France ?, Franceinfo [en ligne], 20/11/2018. [consulté 11/02/2022]

Disponible sur : https://france3-regions.francetvinfo.fr/sont-fabriquees-alternatives-aux-carburants-petroliers-hauts-france-1577858.html

  • GODARD Xavier, Les enjeux de la mobilité durable face à la métropolisation dans le contexte Nord-Sud, HAL  [en ligne], 02/12/2010.

[Consulté 11/02/2022]

Disponible sur : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00542410/

  • Le Fil d’Actu, AGROCARBURANTS : UNE ÉNERGIE D’AVENIR ?, YOUTUBE [en ligne], 02/05/2018

[consulté 11/02/2022]

Disponible sur : https://www.youtube.com/watch?v=0j7Cr7-B0jc

  • MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, Biocarburants, MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE [en ligne], 23/12/2021.

[consulté 11/02/2022]

Disponible sur : https://www.ecologie.gouv.fr/biocarburants

  • NORMAND Jean-Michel, BEZIAT Eric et PIQUARD Alexandre pour le Monde : Automobile : le déclassement du diesel. Relevé sur esidoc [en ligne], 10/04/21.

[consulté 11/02/2022]

Disponible sur : https://0251202w.esidoc.fr/document/id_mmf2021_611640.html

  • NOUYRIGAT Vincent pour Science et vie : Des millions de puits abandonnés : les sales fantômes du pétrole

[consulté 11/02/2022] Disponible sur : https://www.science-et-vie.com/nature-et-enviro/des-millions-de-puits-abandonnes-les-sales-fantomes-du-petrole-47928

COMMENTAIRES :

Cet article nous apprend que la France est un pays très consommateur et que cela représente des problèmes à différentes échelles. C’est un article très propre et clair. Les images sont très bien choisies et sont faciles à comprendre. C’est un article très bien réalisé. BEUCLER Lauryne

Article très pertinent et bien structuré. Les images sont bien choisie. Il est très intéressant et nous informe bien sur le sujet.

Ewan Hirter