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La musique fait peau neuve pendant le confinement

Durant la période de confinement du 17 mars au 11 mai, les gens se sont occupés comme ils pouvaient avec les moyens à leur disposition. La musique fait parti de ces moyens d’occupations. Mais cette période si particulière où chacun est enfermé chez soit a fait évoluer la musique et par conséquent ajoute de la diversité à la culture. Premièrement, nous verrons pourquoi et comment les gens ont contribué aux changements de la musique. Et enfin comment les musiciens professionnels ou amateurs ont adapté leurs activités pendant le confinement.

L’envol de la musique en digitale 

Studio enregistrement, 28/10/2015
Source : Pixabay

Pendant le confinement, nous avons vu beaucoup d’activités et de défis sur les réseaux afin de passer le temps, et certaines personnes ont trouvé comme nouvelle passion la musique. Les magasins étant fermés, il était donc impossible de se procurer quelconque instruments. Les gens se sont donc tournés vers la production de musique via des logiciels. D’après le CNN-IRMA, les logiciels de production musicale tels que GarageBand, Ableton et Logic Pro ont connu une forte hausse de téléchargement entre le 8 mars 2019 et le 25 avril 2020, autrement dit pendant le confinement.

Pour d’autre personnes, il était essentiel de reprendre leurs activités. Pour certains, la musique par logiciel était déjà leur quotidien mais pour d’autre, la pratique de leurs instrument n’était pas en règle avec les mesures sanitaires. Comme les instruments à vent par exemple. Cependant, cela n’a pas empêcher des musiciens de remédier eux même à leurs problèmes. En effet, un altiste nommé Vincent Thévenet a  inventé le « Music mask », qui permet d’empêcher la propagation du virus lors de l’utilisation d’un instrument à vent.

Les musiciens, plus créatifs que jamais

Qui aurait cru que le confinement serait autant une source d’inspiration pour les artistes ? Nouveaux albums, représentations en live, dans des musées, dans des jeux vidéos, à leurs fenêtres, les musiciens n’ont pas manqué d’idées.

Guitare, 08/05/2015
Source ; Pixabay

Etant confinés, les musiciens ont du trouver des moyens de rester en contact avec les fans. Dans un article de Albane Guichard,  ont reconnait quelque têtes connues : Bob Sinclar, Calogero, Coldplay et Patrick Bruel, tout les 4 faisant un live sur les réseaux pour continuer de proposer du divertissement aux auditeurs et pour soutenir le personnel soignant.

D’autre artistes ont choisi de suivre un model qu’ils connaissaient déjà, comme l’explique le musicologue Christian Merlin dans son podcast « l’orchestre réinventé ». En effet, il met en avant des orchestres continuer leurs interprétations… sans public dans les gradins! Bien que plus tard, ils ont du se plier tout de même à la méthode de la visio-conférence comme une grande majorité des artistes.

A plus petite échelle, certains musiciens ont décidé de partager leur art à tous depuis chez eux sans qu’il soit question de caméras, de logiciels ou d’ordinateurs. Partout dans le monde, ces artistes ont eu l’idée de jouer de la musique à leurs fenêtres en solitaire ou en groupe. En plus d’être un moyen de partage bien évidemment gratuit, l’altiste Cyril Bouffyesse  témoigne que ses concerts à domicile était à l’origine de liens sociaux entre voisins. Ces dernier restaient discuter entre eux à la fin de chaque représentation du musicien.

Concert
Source : Pixabay

Pour finir, on retient que la musique a évolué dans bien des domaines durant cette pandémie. Cependant, les festivals et salles de concerts restent fermés, ce qui laisse en suspens une éventuelle reprise de leurs activités. Quand sera t-il possible d’assister à nouveau à de véritables concerts?

FRANCOIS Tom

PORCO Aurelien

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Créativité, innovations

Quels enjeux militaires poussent à innover ?

Introduction :

« Un ordre chronologique logique ordonne l’idéation, qui est le stade de la recherche d’idée, l’invention, qui est le fait d’imaginer quelque chose de nouveau, de l’innovation, qui rend nouveau quelque chose qui existe. » ( Cédric PERRIN et Jean-Noël GUÉRINI. SENAT)

A travers cette définition, le Sénat nous explique qu’innover, est le fait de réinventer un objet ou idéologie, afin de la rendre nouvelle et unique, jusqu’au moment où elle sera, elle-même réinventé, réinnover. Alors dans quel cas un enjeu peut-il pousser le domaine militaire à innover ?

Dans un premier temps nous allons présenter les différents enjeux qui poussent les militaires à innover, puis nous terminerons par la présentation d’un engin militaire innover, et en innovation constante.

 

Les différents enjeux :

 

Les différents enjeux qui poussent les militaires à innover, sont les différentes menaces qui touchent les population sur leurs territoires ( le terrorisme ) où encore la constante amélioration technique de nos ennemis, qui nous poussent à toujours innover.

Nous sommes actuellement sous constante menace terroriste, ce qui a pousser l’Etat français à innover le plan vigipirate datant du 7 février 1978 en septembre 2016. Cette innovation à été pensée car après une vague d’attentat sur le territoire français, l’Etat ne pouvant pas laisser passer cela et a décidé de « consolider d’avantage cet instrument et l’adapter à l’évolution de la menace… Dans sa nouvelle approche, le plan entend effectivement mieux informer chacun d’entres nous sur le terrorisme. » ( Louis Gautier. Gouvernement.fr ).

La constante évolution technique de  nos ennemis est du au détournement de nos propres innovations provenant du domaine civil tels que les drones ( conçu en 1923 par Maurice Percheron un ingénieur français et Max Boucher un capitain français ), que l’ennemi a su retourner contre nous. Cela à pousser les militaires à l’innovation de défense afin de dépasser l’effet de mode.

Et pour finir la constante amélioration et évolution de nos technologies à pour effet, de faire innover les armées du monde entier afin de pouvoir toujours assurer une certaine défense et suretée au sein de notre pays.

 

Le Griffon, un VBMR ( Véhicule Blindé Multi-Rôles)  en constante innovation :

Le Griffon est un véhicule blindé de l’armée de terre, qui a été pensé en 2008 suite à un besoin militaire de remplacer son ancêtre ayant 40 ans de service, les VAB ( Véhicule de l’Avant Blindé ). Mais aussi pour combrattre nos ennemis dans le désert du Sael ( Mali, Burkina-Faso et Niger ). Le Griffon après 12 ans de réflextion, d’idée et de fabrication, voit enfin le jours et peux entrer en service.

Les particularitées de ce véhicule son de un, sa capacitée à s’adapter à touts types de terrains et de théatre de guerre, c’est aussi un véhicule très mobile grâce à ses 6 roues motrices, mais sa capacitée la plus intérressante est d’être un véhicule multi-rôles.

Qu’est ce qu’un véhicule multi-rôles ?

Un véhicule multi-rôles, est un engin motorisé capable d’avoir plusieurs variants selon le type de théatre de guerre sur lequel il se retrouve. Pour le cas du Griffon, il est doté de 4 futures variantes pour différents besoins sur le terrain.

Les 4 variantes du Griffon, une innovation en constante évolution :

  • Le Griffon de base, est un véhicule créé pour le combat. Mais l’armée de terre prévoit pour 2021, 2022 et 2023 de sortir 4 version différentes du Griffon. Dont une déjà sortie en 2020.
  • La première est le Griffon EPC ( Engin Poste de Commandement ), qui a comme particularitée de pouvoir accueillir des équipements électroniques de dernière génération pour mener un combat collaboratif.
  • Le second est le VTT génie ( Véhicule Transport de Troupe ), comme son nom  l’indique permet d’accueillir plus de militaires que son ancienne version de 2020.
  • Pour 2022 le VOA (  Véhicule d’Observation Avancé ), a comme capacité d’être un poste d’observation mobile qui permet d’observer l’ennemis de tout côté.
  • Et pour finir le SAN ( Véhicule Sanitaire ), a comme différence d’être un véhicule capable de récupérer les bléssés sur le terrain dans la plus grande rapidité et protection possible.

 

Conclusion :

Les enjeux qui poussent les militaires à innover sont principalement liée au conflit qui touche notre monde actuel et qui permet une constante innovation de nos militaires. Mais sans oublier l’avancé technologique de nos ennemis et du reste du monde. Alors quels sont les stratégies à adopté afin d’être toujours supérieurs en terme d’innovation militaire ?

SCHMITT Alexis, COCHET Thomas.

Bibliographie :

 

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Créativité, innovations

L’innovation technique et technologique au secours de l’environnement ?

Eolienne,TeeFarm.11 avril 2017. Source : Pixabay

Aujourd’hui, l’environnement est un sujet qui inquiète de plus en plus de monde. Les défis environnementaux et les nouvelles crises environnementales sont au cœur des principaux débats de notre époque. En effet, afin de régler au mieux ces problèmes, de nouvelles innovations techniques et technologiques et de nouvelles lois voient le jour. Ceci a pour but de ralentir voire même de faire en sorte que ce phénomène environnemental, principalement dû aux activités de l’homme, disparaisse. Pour ce faire, ses nouvelles innovations vont très vite remplacer les précédentes afin de consommer moins d’énergie ou bien d’être moins polluant pour l’environnement.

Les nouvelles réformes environnementales une nouvelle source de problèmes pour les entreprises ?

À la fin des années 1980, l’écologie industrielle a répondu à la problématique du développement durable par une solution technique et organisationnelle. D’une part, l’écotechnologie recommande aux industriels de procéder à un ensemble d’opérations de rationalisation de la production (minimisation des déchets, transformation des déchets en biens marchands).

Pour que l’innovation soit une solution viable pour les générations présentes et futures, il convient cependant de dissocier le mythe de la véritable révolution environnementale. En effet, la dématérialisation, suggérée par l’essor des services et des nouvelles technologies de l’information et de la communication, peut générer des effets rebond. En d’autres termes, la consommation d’énergie peut augmenter (et non diminuer) à la suite d’une amélioration des techniques.

La clé du développement durable résiderait ainsi dans le triptyque suivant : technologique, innovation organisationnelle, changements dans les modes de vie. Les industriels et les consommateurs devront changer leurs habitudes s’ils veulent améliorer leur bien-être, sans souffrir de la dégradation de l’environnement.

L’innovation apparaît aujourd’hui comme le principal moteur de la croissance économique, non seulement dans les économies « basées sur la connaissance » mais aussi dans les économies « émergentes ». Au niveau de l’entreprise, l’innovation apparaît comme le moyen de s’adapter et de survivre dans un monde économique changeant où la concurrence est exacerbée. Toutefois, la croissance économique des sociétés contemporaines doit s’inscrire dans le cadre d’un développement durable, soutenable dans le long terme. Elle doit en effet permettre de conjuguer exigences de développement économique d’une part et exigences environnementales d’autre part.

Prenons l’exemple de Veolia qui accompagne ses clients dans leurs usages optimisés des ressources afin d’en augmenter l’efficacité économique, environnementale et sociale.

Veolia s’appuie sur l’innovation et la co-construction pour remplir la mission qu’elle s’est fixé, celle de

« Ressourcer le monde ».

En se dotant de ces deux leviers, les sciences de l’environnement participent au développement de solutions permettant d’élargir l’accès aux ressources naturelles essentielles tout en les préservant et en veillant à leur renouvellement.

Pour que les entreprises puissent bénéficier de l’apport de ces sciences, il est nécessaire que ces entreprises se fixent des objectifs et qu’elles intègrent lesdites sciences à leur organisation. Il faut aussi qu’elles contribuent à la diffusion de ces dernières.

Assurer une croissance respectueuse de l’environnement en préservant les grands équilibres de la planète est un défi vital à relever pour le monde moderne. Pour cela, des technologies innovantes et des solutions alternatives sont à développer. Des nouvelles formes de gouvernance sont également à imaginer.

Technologie, Geralt. 18 janvier 2018. Source : Pixabay

Les recherches scientifiques et technologiques sont-elles au service de l’environnement ?

Désormais presque toute la population prend en compte l’urgence de la situation concernant le changement climatique. Les pays se réunissent désormais pour trouver des solutions afin de changer la balance concernant le changement climatique et d’autres problèmes environnementaux. A la suite de ses congrès, chaque pays prend une décision pour lutter à son échelle contre ces phénomènes environnementaux. Ces nouvelles règles nous font changer nos habitudes, ses changements sont bénéfiques socialement mais aussi pour la santé de tous car en effet une meilleure situation environnementale influence sur la santé de tous.

L’ampleur des transitions en cours, qu’elles soient démographiques, alimentaires, climatiques, écologiques, énergétiques…, interroge fortement les sciences de l’environnement, qui couvrent un vaste spectre disciplinaire. La programmation des recherches et le soutien à leurs infrastructures posent des questions de coordination et d’alignement, et ce, à tous les niveaux, du national jusqu’au global. Afin d’éclairer les politiques publiques, ses recherches s’enrichissent de travaux de synthèse destinés à produire des états de l’art ou à éclairer des futurs possibles. Mais elles sont aussi attendues pour stimuler des innovations.

Les innovations technologiques impacte-t-elles vraiment l’environnement ?

Depuis une vingtaine d’années, prenant en considération l’impact environnemental de leurs technologies, les acteurs économiques cherchent à réaliser des innovations environnementales s’inscrivant dans une perspective de développement soutenable. Pourtant, vingt ans après le Sommet de la Terre de Rio, les frontières de ces innovations restent encore problématiques d’un point de vue théorique. De plus, les diverses contributions théoriques en matière d’innovation environnementale privilégient davantage la résolution de problèmes environnementaux que la définition de ce qu’est     l’« environnement » : cela pose la question de l’appropriation du concept. Enfin, cette résolution passe par la réduction de l’exploitation des ressources, souvent présentée comme une solution immédiate favorable à la préservation environnementale, mais peut détériorer davantage la biosphère sur le long terme à cause d’effets rebond.

Face aux impacts résiduels d’un projet d’aménagement, les mesures compensatoires doivent permettre de rétablir la qualité et la biodiversité des milieux naturels impactés à un niveau au moins équivalent de l’état initial. Véritable défi technique et organisationnel, la conception et la mise en œuvre de ces mesures nécessitent d’évaluer l’équivalence écologique en mettant en miroir les pertes engendrées par les projets et les gains attendus des mesures compensatoires, pour les intégrer ensuite dans le territoire aménagé.

Panneaux solaires, RoyBuri. 21 aout 2017. Source : Pixabay

L’innovation technologique un espoir pour l’environnement

La  supply chain s’intéresse à la façon dont un site industriel peut optimiser sa durabilité, dans un univers complexe. Plus précisément, ils étudient les pratiques les plus pertinentes liées au management durable de la supply chain (MDSC) pour réduire l’impact environnemental des activités d’un site industriel. En effet, ces pratiques sont celles qui concilient la protection de l’environnement, l’optimisation des coûts globaux et la préservation des valeurs sociétales de l’entreprise pour assurer une performance durable équilibrée et optimale. Ils mettent alors en évidence l’intérêt de combiner trois démarches que sont le value stream mapping, les éco-innovations et les référentiels gestionnaires. La combinaison de ces trois démarches semble vertueuse et permet de couvrir à la fois les domaines stratégiques, opérationnels et fonctionnels de la supply chain mais aussi les trois piliers fondateurs du développement durable (économique, environnemental et social).

Cependant, nous pouvons voir qu’il y existe des situations totalement opposées comme à Madagascar, qui est considérée comme un « hot spot » de la biodiversité, tant terrestre que marine, du fait de son insularité, de sa position tropicale et de l’endémisme très prononcé de ses espèces. Or l’incidence de la pauvreté rurale peut laisser présager une pression importante des activités agricoles sur les ressources naturelles, notamment forestières. La gestion de l’environnement à Madagascar se structure autour d’un certain nombre d’enjeux. Elle constitue une source d’opportunités pour les acteurs à différentes échelles géographiques et, plus largement, pour le développement de Madagascar.


Pour conclure, nous pouvons dire qu’il existe beaucoup d’innovations qui sont bonnes pour l’environnement cependant, il y a encore énormément d’innovations à créer afin de réparer les erreurs commises par l’action humaine qui à voulu se développer au détriment de l’environnement. De ce fait, nous pouvons nous demander si les innovations qui sont créées pour lutter contre les impacts environnementaux sont assez suffisantes ?

FARACHE Giovanni

VERNEY Thibault

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