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La ville en mutation

L’accès à la culture pour les 15-25 ans en ville : question de moyens ou de motivation ?


     Alors qu’il suffit de pratiquer régulièrement au moins un sport pour se considérer sportif, à l’évidence, aucune pratique culturelle ne peut à elle seule justifier chez quiconque une aptitude culturelle générale. En revanche, la moindre pratique culturelle s’avère révélatrice du mode de vie, puisque, compte tenu de  l’âge, les indicateurs les plus influents sur la nature et l’intensité des pratiques relèvent du niveau d’études ou du niveau de revenus. Avec la révolution numérique, les usages culturels évoluent, particulièrement dans les générations des « digital natives », ce sont les jeunes familiers des technologies de l’information et de la communication. Pour autant, les nouveaux usages culturels des jeunes ne sont pas exclusifs : les pratiques artistiques amateurs, la fréquentation des équipements culturels et la consommation médiatique se maintiennent auprès des jeunes générations où l’usage d’internet apparaît lié à un intérêt plus global pour la culture et l’information. Le genre, l’âge et l’appartenance à une catégorie socioprofessionnelle, le lieu de résidence, demeurent des variables significatives dans les pratiques des jeunes. Et c’est du coté des instances de transmission comme la famille, l’école et les institutions culturelles que les évolutions sont les plus notables. De ce fait, pour la classe d’âge des 15-25 ans, l’accès à la culture en ville est-elle une question de moyens ou de motivations? Afin de vulgariser cette interrogation, notre argumentation s’organisera de façon à exposer les différents acteurs visant l’accès à la culture, puis nous nous afférerons à déterminer la fréquentation et les pratiques culturelles contemporaines et enfin nous exposerons des indices et autres cheminements à envisager pour une meilleure fréquentation des espaces culturels.

De Hautes Instances au secours de la culture…

            « Parce que la culture est non seulement un droit, mais aussi un moyen de lutter contre l’exclusion, un outil d’éducation et d’insertion, des actions politiques sont à mettre en place pour créer, par la culture, les conditions d’appartenance et faciliter une citoyenneté active » (José Arias). De nombreux acteurs sont impliqués à des niveaux différents dans les politiques culturelles nationales. On dénombre d’une part les pouvoirs publics et d’autre part des acteurs qui vont développer de façon plus ou moins ponctuelle des actions culturelles : les associations, les entreprises et les fondations via le mécénat culturel. En ce qui concerne les pouvoirs publics en tant qu’acteur de la culture, on retrouve la Communauté Européenne, le ministère de la Culture, le conseil général ou encore les communes et communautés de communes. Les autres acteurs, et non les moindres, sont les associations, les musées, les entreprises ou encore les fondations. « A ces deux niveaux de l’organisation de la culture, il faut bien entendu ajouter les artistes et les publics qui constituent des maillons indispensables. » André Malraux.

L’Etat est un acteur historique mais toujours incontournable. Ainsi, l’intervention de l’Etat dans le domaine des arts et des lettres a toujours été forte en France. Historiquement, cette implication de l’Etat s’est développée depuis l’Ancien Régime avec le mécénat royal, sous François 1er. Avec la révolution apparait le souci de conservation du patrimoine, mission confiée aux musées en 1795. La Troisième République favorise l’éducation et la diffusion de la culture. Le ministère de la Culture est né en France avec la Vème République, qui a pour objectif de rendre accessible la culture au plus grand nombre. A ce titre, l’Etat mène une politique culturelle autour de trois grands programmes :

–  la conservation, la transmission et la mise en valeur de notre patrimoine,

– un soutient en faveur de la création artistique,

– et la démocratisation de la culture, la transmission des savoirs, l’action internationale.

Ainsi donc, cette politique culturelle menée en France couvre différents secteurs pour une organisation au plus près des spécificités de chaque secteur, développée à l’échelon national et relayée au niveau régional puis par les collectivités locales. Malgré cette organisation nous constatons que l’accès à la culture demeure inégal.

Pour un problème de telle ampleur, il est nécessaire de le traiter à la racine et cela débute par la mobilisation d’une certaine population d’enseignants et la sensibilisation des enfants scolarisés par rapport à des raisons philosophiques, pratiques et politiques, pour atteindre l’objectif de la démocratisation de la culture. Cela est rendu possible par diverses politiques d’éducations artistiques et culturelles réalisées par différents dispositifs :

  • classes du patrimoine, ateliers de pratique artistique,
  • classes à parcours artistique et culturel
  • ce dispositif est disponible aux lycéens relayé par les conseils régionaux
  • ceci est aussi réalisé auprès des collégiens par l’action des conseils généraux
  • nous retrouverons ces programmes sous l’appellation « Collège au cinéma/théâtre », « Lycéens et apprentis au cinéma », etc., auxquels les collectivités locales ont souscrit et apporté leur soutien.

Nous avons pu observer cette mobilisation à plusieurs reprises, notamment lors du festival d’Avignon en 2013 où une marche fut organisée par la Fédération Nationale du Syndicat du Spectacle et de l’Audiovisuel et de l’Action Culturelle, réitérée ce 10 Février 2014 à Paris et dans plusieurs villes de France, pour dénoncer les coupes budgétaires mettant en danger de nombreuses compagnies et structures, ainsi que l’égalité de l’accès à la culture. (Selon la CGT).

… face au dilemme : motivations versus freins…

            Les milieux culturels ne peuvent ignorer que désormais un Français sur deux dispose d’une connexion à internet haut débit. Nos modes de vie et de consommation se trouvent profondément transformés par le développement rapide d’internet en raison de la nature même de ce « média à tout faire ». Internet permet, à la fois, d’accéder aux œuvres du passé, les plus lointaines, aux programmes de la radio et de la télévision, de diffuser et de partager ses propres images, textes ou musiques… C’est donc à ce titre, que l’on peut constater que :

  • 52,5% des 15-25 ans ne vont jamais au musée,
  • 63,5% ne se rendent jamais au théâtre,
  • 92,5% déclarent ne pas aller à l’opéra.

Dans un contexte urbain, ces propos sont étayés par une étude réalisée par des élèves en Master 1 de l’Université d’Auvergne de Clermont-Ferrand. Le contexte de l’étude est basé sur les responsables de lieux culturels soulignent fréquemment le manque d’intérêts de la population étudiante pour l’offre culturelle clermontoise. Si nous comparons avec d’autres tranches d’âges, les étudiants apparaissent particulièrement peu impliqués dans les activités culturelles. Comment expliquer ce désintérêt ? Problème de budget ? Evolution des modes de consommation ? Problème de temps ? Un questionnaire a été envoyé par courriel à tous les étudiants de l’Université d’Auvergne, soit à 14 881 étudiants. 1 581 étudiants y ont répondu.

            Nous savons que la proportion des étudiants pratiquant une activité culturelle est faible, seulement 29%, celle-ci peut être due à une évolution des mœurs, qui consisterait en une optimisation du temps qui devrait permettre d’allouer à la fois plaisir et utile, ici, de pratiquer une activité culturelle. En effet, dans le graphique suivant, nous nous intéressons d’abord à la fréquentation des lieux de loisirs par les étudiants. On notera la présence d’activités pratiquées massivement par la population sélectionnée.

 

Nous constatons que le sport atteint la plus forte fréquentation (50%) pour une pratique minimale d’un
e fois par semaine. Le bowling et le laser, ont un pourcentage très faible (proche de 0%) pour une fréquentation identique. Ceci peut être du au coût de ce loisir, puisque l’on constate que pour une fréquence égale à une fois par mois les pourcentages croient respectivement à 60% pour le bowling et 25% pour le laser game. Avant tout autres commentaires, nous souhaitons mettre en parallèle un autre graphique, qui, quant à lui représente la fréquentation des lieux culturels  par les étudiants. Dans les activités choisies, dont la palette est relativement variée, pourraient solliciter chez bon nombre de jeunes un quelconque enthousiasme.

 

Un rapide coup d’œil sur le document 2 nous permet de constater que le cinéma est relativement bien fréquenté (entre 10% et 15% le pratique une fois par semaine), bénéficiant sans doute d’une approche très « loisirs ». A contrario, les expositions et musées relèvent probablement de pratiques touristiques, hors des lieux de résidence habituelle. Tout comme l’opéra, danse et théâtre qui, quant à eux sont des lieux fréquentés à la marge. Une forte majorité d’étudiants est  insensible à cette offre. Il en ressort par la corrélation des deux graphiques que le développement de la fréquentation des lieux culturels par les étudiants ne peut se faire contre les autres lieux de loisirs, mais en complément. Ceci ouvre la perspective d’une complémentarité des offres loisir/culture. Nous parlions d’une des notions clefs responsables de l’absence de pratiques culturelles,qui serrait le facteur temps. En effet, le développement d’Internet, exemple le plus significatif, fait clairement concurrence à une pratique « démodée », la lecture, inscrivant les étudiants dans une culture de l’immédiateté. Cela induit que les étudiants sont dans une logique d’allocation de la ressource temps relativement mince, plus que dans le facteur prix. Néanmoins, les ressources financières restent au cœur des arbitrages faits par les étudiants.

 

Ainsi les éléments liés à l’offre culturelle, le prix, le lieu et l’horaire, s’avèrent particulièrement déterminants. Les étudiants se retrouvent donc dans un contexte où ils doivent choisir entre des contraintes d’argent, de temps et d’accessibilité. L’ambiance joue un rôle plus déterminant que l’intérêt du programme, preuve que l’objectif d’une sortie culturelle est de passer un moment agréable, plutôt que de rentrer dans une démarche de culture «intellectuelle». Celle-ci converge dans le sens d’une conception de la culture par les étudiants très orientée dans une dimension de loisirs où leurs choix se font sur des critères communs avec d’autres pratiques plus divertissantes à savoir le prix, le lieu et le temps.

Au vue de tous ces constats, les freins les plus importants à l’activité culturelle sont liés principalement à l’allocation de deux ressources rares, le temps (de travail) et l’argent (consacré au loisir). Afin de ne pas blâmer l’étudiant sur de quelconques choix qu’il doit réaliser pour accéder à l’offre culturelle, intéressons nous à l’engouement qu’il porte à l’égard de la culture.

En ce qui concerne l’expression de la motivation pour la consommation culturelle, il faut valoriser l’intérêt qu’elle suscite en termes d’ouverture d’esprit, de curiosité intellectuelle et de découverte. En effet, d’après l’analyse du graphique « Les motivations de la consommation culturelle », environ 18% d’étudiants se rangent dans la partie « découverte, curiosité » ou encore environ 14% d’entre eux pensent la culture en terme de motivation comme « divertissement ». Versus seulement 7 % se classe dans l’onglet «enrichissement, apprentissage». Cela est très évocateur, les motivations remportant les meilleurs pourcentages, montre que de nombreux étudiants envisagent la culture comme un simple loisir. Mais l’importance de l’item « ouverture, curiosité, découverte » peut laisser entendre que les étudiants expriment un fond de curiosité qui peut être valorisé. Dans un développement futur, qui pourrait envisager un sursaut de la fréquentation des musées, il faudrait envisager une politique plus dynamique et conviviale dans les musées qui pourraient voir leur cote de popularité augmenter. Car la convivialité est un facteur clé qui peut montrer l’importance pour les étudiants de ne pas être de simples consommateurs, mais aussi qui révèle leur souci de se sentir bien dans un monde culturel qui peut sembler abrupt au premier abord. Elle montre aussi l’importance de la dimension sociale de la culture, alors que la fréquentation de l’Université peut être synonyme d’une vie culturelle réduite, car elle s’exprime après des moments de loisirs.

Tout d’abord, il est clair qu’une grande majorité des Européens considèrent que la culture détient un rôle important dans leur vie. Environ 77 % d’entre eux affirment que la culture est importante à leurs œil. Beaucoup d’entre eux indiquent être intéressés non seulement par leur culture mais aussi par celle de leurs homologues. Néanmoins les répondants sont en désaccord sur un point, celui de l’impact de la mondialisation. Il en résulte qu’environ 6 répondants sur 10 (58%) affirment que la mondialisation créera un nouveau dynamisme dans la culture du continent et qu’elle contribuera à étendre l’influence de l’Europe dans le monde. Mais, un nombre de répondants à peine inférieur (53%) pensent que la mondialisation constitue une  menace pour la culture européenne et que de ce fait des mesures devraient être envisagées. Nombreux sont ceux à considérer que l’éducation à un rôle important à jouer : 56% des répondants affirment que l’enseignement des langues étrangères à l’école faciliterai l’échange entre Européens. Les répondants ont été interrogés quant à l’importance qu’ils accordent personnellement à la culture. Il en ressort du document suivant que 77% des répondants affirment que la culture est importante pour eux. A Chypre et en Pologne, plus de 9 répondants sur 10 déclarent que la culture est importante pour eux personnellement. Et les Français se classe en troisième position avec un pourcentage de 88%. Les pays dans lesquels le pourcentage est le plus faible sont l’Autriche (53%), suivie par l’Allemagne (65%). C’est donc une belle prestation pour les Français, qui sont sur le podium, ayant le mérite de s’intéresser à la culture.

 …apportant leurs contributions dans cet ultime combat.


L’exploitation inédite d’une partie de l’enquête TIC (technologies de l’information et de la communication) réalisée par l’INSEE offre une première image générale du lien qui existe entre pratiques culturelles et pratiques numériques, qui nous permet d’affirmer que ces pratiques sont relativement complices.  De cette enquête, nous en retenons qu’à l’échelle de la population française, la probabilité d’être internaute croît régulièrement avec le niveau général de participation aux pratiques culturelles traditionnelles. En effet, nous voyons de manière très nette que  l’accès à internet à domicile augmentent régulièrement en fonction du score obtenu sur un indicateur synthétique traduisant les comportements en matière de lecture de livres, de fréquentation d’équipements culturels ou encore de pratiques artistiques en amateur (salles de cinéma, de théâtre, de concert, de musées ou expositions), 83 % des personnes s’étant rendues dans une salle au moins une fois par mois sont internautes. Cette constatation, allant dans le sens d’une utilisation responsable d’internet, prône pour la mise à disposition de ce moyen de communication aux espaces culturels.

La localisation de l’équipement et son accessibilité peuvent aussi générer une difficulté. En complément nous soulignerons l’impact de la localisation géographique, outre, la motivation des jeunes. Prenons comme exemple l’Île-de-France qui, en 2008, concentre  43% des professions culturelles nationales. En effet, 86% des grands établissements culturels français sont situés à Paris et dans les Hauts-de-Seine  (Musée du Louvre, Bibliothèque Nationale de France, TF1, France 2, France 3, Canal +,…). Sur les trente-sept établissements français ayant une activité principale considérée comme culturelle et employant au moins 500 salariés, vingt et un sont situés à Paris. La densité de l’offre culturelle est souvent liée au profil touristique d’une région. Si nous exceptons la région Île-de-France, le secteur culturel apparaît particulièrement important dans le Sud et le Sud-est de la France. Ce dernier est principalement développé dans les espaces métropolitains régionaux au sein desquels, les parts de l’agriculture et de l’industrie sont inférieures à la moyenne régionale, et où, le revenu net moyen par foyer fiscal est en revanche relativement élevé. Les métropoles régionales se caractérisent par ailleurs, par une forte part d’actifs diplômés de l’enseignement supérieur, de même que par la présence d’étudiants, en principe « consommateurs de culture ».

Les particularités d’un mode de vie urbain, et plus encore Parisien, se manifestent clairement au travers des pratiques culturelles. Comme nous le disions précédemment, Paris reste un foyer de création culturelle. La diversité et la facilité d’accès à l’offre culturelle rendent plus facile la pratique d’une quelconque activité. Moralité, la localisation est facteur de consommation culturelle par les jeunes de part leur faible mobilité, et nous voyons par l’étude du climat Parisien, que la consommation est facilité dans un contexte urbain. Il s’agirait donc de revoir l’homogénéité des accès à l’offre culturelle.

Il en ressort de l’analyse de la question portant sur l’accès de la culture en ville pour les 15-25 ans, que de nombreux acteurs jouent un rôle dans l’accès à la culture notamment de hautes instances à commencer par l’Etat, la communauté Européenne ou encore le ministère de la Culture. En ce qui concerne le « mode de consommation » des étudiants, lorsqu’il s’agit de pratiques culturelles, nous constatons qu’il est différent de celui des autres classes sociales dans le sens où  les jeunes (sous entendu 15-25 ans et étudiants) représentent un public très segmenté, c’est à dire que ceux qui se rendent au théâtre ne vont pas forcement au concert et inversement. Il faudrait réaliser une communication plus appropriée où l’usage d’internet peut être envisagé, car même si l’information est importante elle reste souvent codée voir jargonneuse. De plus, nous soulignons qu’il n’est pas rare de trouver des informations, quel qu’elles soient, traduisant que les jeunes ne sont plus très motivés pour se cultiver, mais d’un autre coté, l’offre n’a pas évolué par rapport à la demande étudiante. Nous savons désormais que les jeunes expriment la motivation de vouloir découvrir et ressentent encore une certaine curiosité mais manifestent quelques réticences, à commencer par un problème financier, même si cet aspect n’est pas toujours un facteur déterminant. Nous retrouvons également des contraintes telles que le manque de temps, ou encore, la localisation géographique pose problème, ce qui occasionne des inégalités d’allocation de la ressource. Nous avons remarqués que la France ce situe en troisième place, concernant une étude Européenne, dont l’objet de recherche était, « l’importance de la culture par individus ». Enfin, nous réalisons que les jeunes se retrouvent confrontés à des freins, mais qui malgré cela, inspirent une motivation culturelle. Finalement, la localisation est facteur clef de consommation culturelle par les jeunes de part leur faible mobilité et nous voyons par l’étude du climat Parisien, que la consommation est facilité dans un contexte urbain. Il s’agirait donc de revoir l’homogénéité des accès à l’offre culturelle.

Et vous, qu’en pensez vous ?

BEAU Pierre-Alexis, ROMAND-LENGLET Arthur
Bibliographie

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2 réponses sur « L’accès à la culture pour les 15-25 ans en ville : question de moyens ou de motivation ? »

Pheulpin Maxime

Personnellement je pense que le faite de s’accrocher ou non dépend sur tout sur la taille du porte-monnaie.

Sinon votre blog ait bien rédiger, cela ma donner envie de le lire ainsi que de mis plonger profondément.

On sent que vous avez passé du temps sur votre article. La petite question en fin de conclusion est fort apprécié. Les graphiques sont bien trouvés mais pensés a citer les sources ou si elles sont donnés je n’ai pas fais attention.

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