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La précarité des emplois en Europe : un défi pour la jeunesse

La précarité de l’emploi est un phénomène qui touche de plus en plus de salariés en Europe, et notamment les jeunes. Quelles sont les causes et les conséquences de cette situation ? Comment y faire face ? Voici quelques éléments de réponse.

Photo: https://www.lesechos.fr/economie-france/social/le-nombre-de-jeunes-precaires-regresse-en-france-1895707

Selon Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne, l’emploi précaire représente 15,7 % de l’emploi salarié total dans l’UE en 2016. Par emploi précaire, on entend les contrats de travail à durée déterminée, le travail intérimaire, le travail saisonnier, le temps partiel subi ou le travail indépendant contraint. Ces formes d’emploi sont souvent associées à une faible rémunération, une absence de protection sociale, une instabilité professionnelle et une insécurité personnelle.

Les jeunes sont particulièrement touchés par la précarité de l’emploi. En effet, ils sont souvent confrontés à des difficultés d’insertion sur le marché du travail, à cause du manque d’expérience, de qualification ou de réseau. Ils sont aussi plus exposés aux effets de la crise économique, qui réduit les opportunités d’emploi et favorise les licenciements. Selon l’Organisation internationale du travail, le taux de chômage des jeunes (15-29 ans) dans l’UE était de 16,8 % en 2019, contre 6,3 % pour l’ensemble de la population active.

La précarité de l’emploi a des conséquences néfastes sur la vie des jeunes, tant sur le plan matériel que psychologique. Elle limite leur capacité à se projeter dans l’avenir, à se loger, à fonder une famille, à se former ou à s’engager dans la société. Elle peut aussi engendrer du stress, de l’anxiété, de la dépression ou du découragement.

Face à ce défi, quelles sont les solutions possibles ? Comment les jeunes peuvent ils s’adapter à un environnement professionnel incertain et changeant ? Comment les pouvoirs publics peuvent ils soutenir l’emploi des jeunes et lutter contre la précarité ? Nous allons tenter de répondre à ces questions en nous appuyant sur des exemples concrets et des témoignages de jeunes.

  1. Les causes de la précarité de l’emploi chez les jeunes

La précarité de l’emploi chez les jeunes est le résultat de plusieurs facteurs, qui se combinent et se renforcent mutuellement. Parmi ces facteurs, on peut citer :

– La mondialisation et la concurrence internationale, qui poussent les entreprises à réduire leurs coûts et à flexibiliser leur main-d’œuvre. Les jeunes, souvent moins qualifiés et moins expérimentés, sont les premiers à subir les conséquences de ces stratégies, qui se traduisent par une augmentation des contrats précaires, des délocalisations ou des externalisations.

– La transition numérique et écologique, qui entraîne des mutations profondes du marché du travail. Les jeunes, qui n’ont pas toujours accès à une formation adaptée aux nouveaux besoins et aux nouvelles compétences, sont confrontés à un risque d’obsolescence ou de déclassement. Ils doivent aussi faire face à une accélération des changements, qui réduit la durée de vie des métiers et des savoir-faire.

– La crise économique et sanitaire, qui a aggravé la situation de l’emploi des jeunes. La pandémie de Covid-19 a provoqué une chute de l’activité économique, qui a affecté les secteurs les plus employeurs de jeunes, comme le tourisme, la restauration, le commerce ou la culture. Elle a aussi perturbé les parcours de formation, d’orientation ou d’insertion des jeunes, qui ont dû faire face à des interruptions, des reports ou des annulations.

– La segmentation du marché du travail, qui crée une fracture entre les insiders et les outsiders. Les insiders sont les salariés qui bénéficient d’un contrat à durée indéterminée, d’une rémunération élevée, d’une protection sociale et d’une représentation syndicale. Les outsiders sont les salariés qui occupent des emplois précaires, mal rémunérés, sans protection ni représentation. Les jeunes font partie des outsiders, qui ont peu de chances d’accéder à des emplois stables et de qualité.

  1. La précarité des emplois en France chez les jeunes

La France est l’un des pays européens où la précarité de l’emploi chez les jeunes est la plus forte. Environ, 47 % des salariés de moins de 25 ans étaient sous contrat précaire en 2018. Ce taux est nettement supérieur à la moyenne européenne, qui était de 32,6 % en 2016.

Plusieurs facteurs expliquent cette situation. Tout d’abord, le système éducatif français ne favorise pas l’insertion professionnelle des jeunes peu ou pas diplômés. En effet, le taux de chômage des jeunes sans diplôme était de 35,7 % en 2018, contre 9,5 % pour ceux qui ont un diplôme supérieur au baccalauréat. De plus, le marché du travail français est marqué par une dualité entre les emplois stables et protégés, souvent occupés par les seniors, et les emplois précaires et flexibles, souvent réservés aux jeunes. Cette dualité est renforcée par le coût élevé du travail, qui incite les employeurs à recourir aux contrats courts, et par la rigidité du droit du travail, qui rend difficile le licenciement des salariés en CDI.

La précarité de l’emploi en France chez les jeunes a des conséquences similaires à celles observées dans le reste de l’Europe, mais aussi des spécificités. Ainsi, les jeunes précaires français sont plus touchés par la pauvreté que leurs homologues européens. En effet, le taux de pauvreté des jeunes de 18 à 24 ans en France était de 22,4 % en 2018, contre 20,1 % dans l’UE. Cela s’explique notamment par le faible niveau du salaire minimum, qui ne garantit pas un revenu décent, et par le manque d’accès aux prestations sociales, qui sont souvent conditionnées à la durée de cotisation. Par ailleurs, les jeunes précaires français sont plus exposés au risque de décrochage social, qui se manifeste par un retrait de la vie collective, une perte de confiance en soi et en l’avenir, et une tentation de la violence ou de l’extrémisme.

3. Les conséquences de la précarité de l’emploi chez les jeunes

La précarité de l’emploi chez les jeunes a des effets négatifs sur plusieurs aspects de leur vie, tels que :

– Le revenu et le pouvoir d’achat

Les jeunes qui occupent des emplois précaires ont souvent des salaires faibles, irréguliers ou aléatoires. Ils ont aussi moins accès aux primes, aux indemnités ou aux avantages sociaux. Ils ont donc du mal à boucler leurs fins de mois, à épargner ou à investir. Ils sont aussi plus exposés au risque de pauvreté ou d’exclusion sociale.

– Le logement et la mobilité

Les  jeunes qui occupent des emplois précaires ont souvent des difficultés à se loger, à cause du coût élevé des loyers, des garanties exigées par les propriétaires ou des discriminations à l’accès au logement. Ils sont aussi moins mobiles, car ils ont moins les moyens de se déplacer, de changer de lieu de résidence ou de partir en vacances. Ils sont donc plus dépendants de leur environnement familial ou géographique.

– La santé et le bien-être

Les jeunes qui occupent des emplois précaires sont souvent soumis à des conditions de travail pénibles, stressantes ou dangereuses. Ils ont aussi moins accès aux soins, à la prévention ou à la couverture maladie. Ils sont donc plus vulnérables aux risques physiques ou psychiques, tels que les accidents, les maladies, les troubles musculosquelettiques, les addictions ou les suicides.

– La famille et la vie affective:

La famille et la vie affective. Les jeunes qui occupent des emplois précaires ont souvent du mal à construire un projet de vie familiale ou sentimentale. Ils ont tendance à retarder ou à renoncer à se mettre en couple, à se marier ou à avoir des enfants. Ils sont aussi plus exposés aux ruptures, aux séparations ou aux divorces. Ils sont donc plus isolés, plus solitaires ou plus instables.

La précarité de l’emploi est un phénomène qui affecte de manière croissante les jeunes en Europe, et plus particulièrement en France. Elle a des impacts négatifs sur leur vie économique, sociale, personnelle et citoyenne. Elle représente un défi majeur pour l’avenir de la jeunesse européenne, qui doit faire face à un monde du travail incertain et changeant.

 Bibliographie:

-Observatoire des Inégalités : L’évolution de la précarité de l’emploi selon son âge et son sexe, 1er juin 2023

Stéphane BeaudLiza Kerivel, CAIRN, Les jeunes adultes peu diplômés lourdement marqués par la précarité en début de carrière, 22 Novembre 2022

-Insee, Taux de chômage des 15-64 ans selon le diplôme :

CGT :L’emploi des jeunes doit être une priorité nationale et européenne, 11 Juin 2018

Alain Ruello, LesEchos, Le nombre de jeunes précaires régresse en France

 -Insee, Taux de pauvreté selon l’âge (pourcentage)

Eurostat, direction générale de la Commission européenne chargée de l’information statistique à l’échelle communautaire

Réalisé par:

MOUREAU Bastien

COLLIN François

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La jeunesse

Les jeunes et le respect

 

SICARD Cyrielle, Une voiture de police incendiée à Paris en marge d’une manifestation,  le 18/05/2016

En 2016, 2280 sapeurs-pompiers ont déclaré avoir été victime d’une agression physique lors d’une intervention, soit 17,6 % de plus que pour l’année 2015. Ces agressions en constante hausse sont la plupart du temps commises par des jeunes. Des jeunes de cités, souvent défavorisés. Ce manque de respect n’est pas que visible chez les sapeurs-pompiers : insultes envers les forces de l’ordre, discrimination dans les écoles, l’irrespect est présent partout, que ce soit à envers des biens ou envers des individus. Le non-respect est un phénomène social qui peut avoir de lourdes conséquences allant à l’encontre d’une société vivable.

La notion de “respect” est même devenu un phénomène de mode sur les réseaux sociaux : les jeunes parlent de : “mais où est passé le respect”, “le respect est mort” pour parler de faits irrespectueux. Nous assistons à la dégradation de ce terme qui était, il y a quelques décennies, une valeur ancrée dans l’esprit de nos aînés. Le respect est de plus en plus pris à la légère par les jeunes.

La jeunesse étant de moins en moins respectueuse, nous pouvons nous demander s’il est encore possible d’inculquer le respect aux jeunes Français au jour d’aujourd’hui.

 

D’où vient ce phénomène de non-respect ?

 

            La première cause de ce non-respect est l’éducation faite par les parents. Si les enfants reçoivent une mauvaise éducation de la part de leur parent dès leur plus jeune âge, ceux-ci ne sauront pas ce qu’est le respect et auront tendance à le négliger. C’est lors de la phase de socialisation primaire que l’enfant va inculquer un certain nombre de valeurs et de croyances qui influenceront ses choix pour le restant de sa vie.

CHOPPIN Maya, On se dispute devant les enfants, c’est grave ? le 14/04/2014

“Ma sœur et moi, on se traite de tous les noms quand on n’est pas d’accord, j’ai même envie de la taper des fois. Mes parents n’approuvent pas ce comportement, mais bon, moi, j’ai toujours vu mes parents s’insulter”

Le comportement des parents devant leurs enfants est très important car l’enfant va prendre exemple et imiter ses parents. Si les parents adoptent un comportement exemplaire, l’enfant sera respectueux. Cependant, si les parents sont violents ou injurieux, l’enfant le sera aussi avec son entourage. L’enfant recopie les faits et gestes de ses parents : “Ma sœur et moi, on se traite de tous les noms quand on n’est pas d’accord, j’ai même envie de la taper des fois. Mes parents n’approuvent pas ce comportement, mais bon, moi, j’ai toujours vu mes parents s’insulter” nous raconte Lyes, dans NI PUTES NI SOUMISES.

La situation sociale est aussi importante dans l’éducation de l’enfant. Les milieux défavorisés entraînent indirectement une mauvaise intériorisation du respect chez l’enfant. Etant en manque d’argents, les parents n’ont pas les moyens d’acquérir un logement adéquat pour une bonne éducation. Les logements sont insalubres et dégradés, les parents sont donc, par sécurité et par commodité, obligés d’envoyer leurs enfants dehors. C’est dans ces conditions que le jeune traîne dehors, en bande.

Dans les cités les jeunes sont soumis à la pression exercée par leur “bande”, autrement-dit leur groupe social. Ce phénomène d’influence est aussi appelé processus de conformité. La conformité a lieu lorsqu’un individu modifie son comportement ou son attitude afin que ceux-ci correspondent aux attentes du groupe et que celui-ci y soit accepté. Souvent, dans les quartiers, les normes de groupe sont d’aller à l’encontre des lois, à l’encontre du respect. Parfois, l’autorité du groupe exercée sur un jeune peut l’amener à faire des actions qu’il n’aurait jamais faites de par sa propre volonté. On parle d’obéissance. D’après l’expérience de Milgram, un individu peut être amené à faire n’importe quoi si celui-ci est soumis à une autorité.

Le manque d’éducation et l’influence sociale sont les des principales causes de cet irrespect. Les conséquences de ces actes peuvent être dramatiques.

 

Quelles en sont les conséquences ?

         

Les conséquences de ce manque d’éducation des enfants et de cette influence est le manque total de respect des jeunes envers autrui et les biens.

Le premier manque de respect est la discrimination. C’est-à-dire le fait qu’un individu soit mis à l’écart du groupe, ou même rejeté du groupe, à cause de sa différence, qu’elle soit ethnique, d’origine social ou autre. On le voit particulièrement dans les écoles où des élèves se moquent d’autres personnes pour différentes raisons (physique, origines, cultures). Par exemple, les filles peuvent être insultées quand elles portent des robes/jupes, comme le dit STÉPHANIE, “Sans cesse j’entends des insultes de la part des mecs parce que, pour eux, être habillée en jupe est synonyme de “pute””. Mais cette discrimination se voit aussi dans les lieux publics, où des insultes du genre peuvent être observées.

De plus, les jeunes ne respectent pas les biens d’autrui ou même les biens publics. Nous assistons souvent à des cas d’incendies volontaires, comme ce fut le cas, par exemple, dans la ville de Pont-De-Vaux en décembre dernier: “Cet incendie avait été provoqué par un groupe de jeunes qui squattait ladite caravane”. Et il ne s’agit pas là d’un cas isolé.

Fédération Autonome SPP-PATS, Policiers-pompiers-les mêmes maux: Solidarité, le 21/09/2016

« Ils sont donc obligés de faire appel aux forces de l’ordre pour pouvoir opérer en toute sécurité »

Les sapeurs-pompiers sont de plus en plus confrontés à des cas de feu de poubelle. Qui sont un moyen amusant, pour certains groupes de jeunes, de passer le temps, mais qui sont aussi un moyen d’attirer les hommes en uniforme vers des guet-apens tendus par ces bandes de jeunes. Lorsque les pompiers interviennent, ils se font insulter, caillasser, agresser ; comme le témoigne Romain Pudal dans “Les pompiers entre dévouement et amertume”. Ils sont donc obligés de faire appel aux forces de l’ordre pour pouvoir opérer en toute sécurité. Les forces de l’ordre ainsi que les militaires sont aussi victimes de ces agressions et de ces insultes.

LANGLADE Aurélien, Nombre de sapeurs-pompiers agressés de 2009 à 2015, 2016

Le graphique ci-dessus nous prouve la nette augmentation des agressions envers les sapeurs-pompiers au cours de ces dernières années.

Y a-t-il des solutions envisageables pour faire face à ce manque de respect ?

 

Ce manque de respect, qui est maintenant inévitable, peut quand même être résolus par différents moyens.

Face à la discrimination, plusieurs choses sont mis en place par le Ministère de l’éducation. Chaque année, une semaine d’éducation contre le racisme et contre l’antisémitisme est mise en place. Plusieurs activités sont installées pour faire comprendre aux enfants ce qu’endurent les victimes de ces discriminations. Cela permet d’apprendre aux élèves ainsi qu’au personnel, comment lutter contre le racisme. Lors de cette semaine contre le racisme, on participe à des débats, ou à des rencontres sportives qui privilégient la cohésion.

Le respect s’apprend aussi en pratiquant un art martial. Il existe aussi des organismes comme L’UNESCO qui créés de la documentation qui permet aux parents et aux enseignants d’inculquer plus aisément le respect aux enfants. Les arts martiaux sont basés sur ce que l’on appelle un “Code Moral”. Les principes des arts martiaux et des sports de combats sont le respect, la solidarité, la discipline et la sécurité. Les sports de combats permettent de faire découvrir et d’apprendre la maîtrise de soi, de son corps, mais aussi le respect de ses adversaires. Les sports de combats permettent aussi de drainer la violence, de faire obstacle à un comportement impulsif.

CPT BRUNETAUD Céline, Paroles de soldats, pour eux l’esprit militaire c’est…, le 16/07/2012

« Militariser un jeune, c’est surtout l’éduquer »

Enfin, le respect peut être inculquer grâce à l’armée, aux jeunes sapeurs-pompiers et aux pompiers. Lors de ses formations, l’élève doit apprendre le dépassement de soi, mais aussi la cohésion de groupe, pour réussir au mieux les épreuves auxquelles il est confronté. Pendant sa phase de formation, il devra donc respecter ses coéquipiers, ses partenaires, mais aussi ses responsables. D’après le Capitaine PARIS Pascal, militariser un jeune, c’est surtout l’éduquer. Beaucoup font preuve d’individualisme en arrivant à l’armée. L’apprentissage des règles collectives et de partage sont parfois des nouveautés pour certains d’entre eux. Dans le contexte de l’armée et des pompiers, il y a un cadre hiérarchique à respecter. L’élève, qui est vraiment au plus bas de l’échelle, doit apprendre à respecter et à obéir aux ordres de ses supérieurs.

 

L’éducation du respect est très importante dès le début de l’enfance. Si cette éducation n’est pas faite, à cause des parents ou suite à l’influence de groupe, les jeunes ne respectent rien. Des personnes se font agresser physiquement et verbalement pour des raisons non-valables. Des personnes sont aussi victimes de discrimination (racisme, insultes, moqueries) alors qu’elles sont justes différentes des autres. Les biens et l’environnement ne sont pas non plus respectés. Néanmoins il y a des solutions pour limiter ce manque de respect. L’armée ou encore la pratique d’un sport de combat, permet d’acquérir certaines valeurs, dont le respect. Il existe aussi des organismes qui créés des conférences qui ont pour but de lutter contre la discrimination. Tout le monde doit respecter tout le monde, et tout le monde doit respecter les biens et le matériel de chacun.

Bien sûr qu’il existe des solutions pour inculquer le respect, mais est-ce que ce ne sont pas les jeunes qui ne sont pas prêts à le recevoir ? N’est-il pas déjà trop tard ?

 

Bibliographie

  • CARLE Jean-Claude et SHOSTECK Jean-Pierre. Délinquance des mineurs : la République en quête de respect. Sénat. Publié le 27 juin 2002. [Consulté le 10/01/2018] 232 pages.
    • URL : https://www.senat.fr/rap/r01-340-1/r01-340-119.html
      • Idée principale: Rapport sur l’augmentation de la délinquance. Public concerné. Le rôle de la famille, l’école, la ville, le département face à ce phénomène. Les mineurs et la justice : sanction/éducation ?
  • PUDAL Romain. Les pompiers entre dévouement et amertume. Le Monde. Publié en 2016 [Consulté le 10/01/2018]. 6 pages.
    • Idée principale: Un sapeur-pompier sociologue nous montre le quotidien des sapeurs-pompiers professionnels et volontaires qui sont constamment confrontés à des agressions.

 

MULLER Etienne et BABEL Lucien, étudiants en première année de BTS GEMEAU à l’ENIL de Mamirolle (25).