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Sports extrêmes: risque inconsidéré ou voyage hors-norme?

Introduction :

La fin du 20éme siècle a vu le développement d’un nouveau type de sport où les sportifs peuvent aller jusqu’à mettre leur vie en jeu au cours d’épreuves extrêmement difficiles et dangereuses. Aujourd’hui, des épreuves sont organisées en divers points du globe. Ce nouveau type n’est-il qu’une prise de risques irresponsable et inutile ou alors est-ce une aventure sportive hors-norme ?

Nous nous baserons sur plusieurs articles du Monde, sur un article de D. Luc publié sur  le site Psychologie.com et sur un exposé Florent Duclerc.

Dans un premier temps nous montrerons que ce type de sport n’est qu’une prise de risque irresponsable, puis dans un second temps nous verrons qu’il s’agit d’une aventure sportive hors-norme.

1)     Sports extrêmes : Prise de risque inconsidérée

Les sport extrêmes sont ancrés dans plusieurs domaines sociologiques tel que  la politique, la culture ou encore les médias qui relatent tous les phénomènes sportifs allant des Jeux Olympiques, coupes du Monde, des Championnats, coupes jusqu’au sports régionaux. Ce domaine touche autant les professionnels que les amateurs à la recherche de sensations fortes.

Les sportifs de l’extrême, toujours attirer par le risque et le danger pour leur dose d’adrénaline font et feront toujours le bonheur des spectateurs et alimenteront ainsi notre machine culturelle en marche. Ainsi nous sommes alimenter par des carburants plus ou moins explosifs ou tout le monde peut apprécier le sport extrême à sa juste valeurs, quelques soit le risque (niveau de dangerosité : le ski acrobatique, le free-ride, le dirt,…), la sensation (le parachute, la chute libre,…) ou l’intensité (sport d’endurance : défis de l’IronMan en Indonésie, l’Ultra-Trail du Mont Blanc, le Marathon,…) (Doc 3). Ces sports plus ou moins extrêmes, selon la vision de chacun, font prendre aux sportifs professionnel ou simples amateurs des risques inconsidérés, voir allant jusqu’à la mort de celui-ci. « Ce danger est certes calculé, mais le risque zéro n’existe pas» (doc 3) du fait des limites du corps, de l’environnement, ou encore des problèmes de matériels. Ces facteurs, plutôt faibles, font quelques morts dans le monde.

L’environnement est le facteur le moins incontrôlable, donc le plus meurtrier. Car, ne l’oublions pas, pour pouvoir pratiquer ce sport il faut un environnement spécial qui puisse regrouper tous les caractères nécessaires à la pratique de ce sport. Et cet environnement spécial ne peut se trouver dans des milieux inhospitaliers qu’ils soient sur terre, dans les airs ou dans l’eau. Cette diversité de milieux oblige l’homme à voyager à travers le globe à la rencontre de nouveaux paysages et d’horizons. Cela n’empêche pas la mort de frapper, comme lors de la vingtième Edition du Grand Raid de la réunion ou un participant no sponsorisé mais expérimenté décéda après une chute de 30 mètres alors qu’il était classé au-delà de 100eme place sur les 2700 (Doc1). Ce genre d’accident arrive plus souvent au sportifs les plus confiant et donc moins attentif aux milieux qui l’entoure. Mais quel que soit l’expérience et les niveaux  du sportif les limites du corps ne peuvent être dépassé sans conséquences pouvant entrainer la mort (Doc 2)

Les sports extrêmes qu’ils soient plus ou moins dangereux amèneront gloire et adrénaline aux sportifs, et ceci tous tout autour du monde tant par leurs origines que par leurs histoires. Mais les risque sont omniprésents et les accidents, les erreurs ont des conséquences dramatiques autant pour les professionnels que pour les amateurs exerçant leurs activités aux quatre coins du monde.

Ou se situe les limites du sport et du voyage ?