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La crise du Covid-19: bénédiction ou malédiction ?

Le mois de Janvier 2020 a été pour le monde entier un tournant dans l’histoire. Après les maladies comme la peste qui ont décimer une partie des populations du monde, nous nous retrouvons avec une crise sanitaire sans précédent. Personnes dans le monde ne penser que devrions subir cela et maintenant que la crise du Covid-19 est là, personnes ne sait quand-t-elle va s’arrêter.

Bien que la crise du Covid-19, nous a obliger a changer nos habitudes que se soit dans nos manières d’être mais aussi dans notre mode de vie. Nous nous devons de nous demander en quoi la créativité humaine permet-elle de se réinventer lors des crises telle que la Covid-19 ?

Nous nous sommes rendu compte que malgré les épreuves que nous étions entrainé de passer, que ce soit le manque de travail, la solitude mais aussi le fait que nos liberté soit entraver à cause des restrictions sanitaires et des confinements à répétition. L’être humain à réussit à s’adapter en étant créatif et en innovant ou en réinventant. De plus l’histoire nous a prouver que malgré les difficultés nous en ressortons toujours plus fort.

Comment le monde va-t-il pouvoir sortir de la crise ?

campus de l’école polytechnique, école polytechnique, prise le 05/10/2020, source : Flickr 

L’école certain nous ont dit qu’il s’agissait des meilleurs années de notre vie, et bien pour le moment nous ne pouvons  pas vraiment vous le confirmer. Tous ce que je peux vous dire ses que nos années d’école en ce moment ne ressemble aucunement à ce que je pouvais imaginer. Une autre chose dont je suis sur cet que avec la crise du Covid-19, les gouvernement et nos professeur eux non plus ne pouvez imaginer ces années.

Nous avons au début de l’année tous été dans le doute. Du fait que nous ne savions pas comment aller se dérouler cette année. Que ce soit nous en France mais aussi dans les autres pays ou chaque pays a mis en place des règles différentes ( voir doc réf 1). Du fait que nous avions des restrictions sanitaires et des confinements à répétitions. Aussi nos professeurs et nos écoles se devait de mettre en place les protocoles sanitaires donc cela voulez dire que pour des matières comme le sport, il devait remoduler pour pouvoir permette au élèves  de se défouler tout en respectant les protocoles.

Il y avait aussi le doute pour ce qui ont eu leur diplômes, ils ne savent si il va être mis au même niveau que les diplômes des autres années. Il y a aussi ce qui cherche du travail ou un stage qui n’y arrives pas étant donner que les entreprises doivent mettre leur employé en télétravail et que leur trésorerie est mince. L’état a promis des aides à ce qui les prennes.

Il y a le fait que la crise du Covid-19 a permis de mettre en lumière certain point négatif, comme le fait qu’en France la qualité internet et la fibre n’était pas la même partout donc pour permettre à tout le monde de travaillé ( école et travail) comme il le faut et aussi de prévenir aux niveaux des nouvelles crises. Certaine zones sont dites blanche donc il est très compliquer de pouvoir suivre et travaillé comme il le faut. Aussi le fait que pas tous le monde à le matériel donc c’est pour cela que l’état français a décidé d’aider les personnes dans le besoin  et de faire le plus vite possible pour que les travaux en question soit fait le plus rapidement possible.

Le travail à lui aussi était modifier du fait qu’avant il y avait métro, boulot, dodo et maintenant il y a boulot, dodo. En plus il y a le fait que malgré la crise et les contraintes, il faut que l’économie marche le mieux possible et donc pour cela il faut que les entreprises continue de marcher le plus naturellement possible. Ce que je veux dire c’est qu’une entreprise se doit d’embaucher des personnes même à distance et donc pour cela, elles se doivent bien de trouver des solutions pour que ces nouveaux employer puissent se sentir épanouie et qu’ils savent avec qui il travail malgré le fait qu’il ne sont pas là et qu’ils n’ont jamais vu personnes. Aussi certaines entreprises ont décider de mettre des logiciels, des séances, etc pour aider leur salariés aux niveaux mental, qu’ils soient nouveaux ou non.

La créativité des jeunes a permis d’aider la médecine en France et dans le monde.

Comment la crise a permis à la médecine de se développer en prenant autant d’année d’avance

La crise du Covid-19 à mis en lumière un autre point important en France, du fait qu’avec la mondialisation et que toute nos entreprises soient partie à l’étranger. Nous nous sommes retrouvées en pénurie de matériel médical et autre mais aussi de matières premier donc ce qui c’est passer, certaine entreprise ont du s’arrêter faute d’approvisionnement et certain secteur ont eu du mal à faire le travail comme il le faut (Ex : la médecine). Cela nous a rendu fragile que se soit au niveau de l’économie et aussi au niveau de la sante.

Nous nous sommes aussi rendu compte que même aux niveau des vaccins nous avons put sauter énormément d’étapes et donc nous avons pris beaucoup d’avance.

Heureusement grâce a l’entraide et à la créativité nous avons pu trouver des solutions pour permettre à nos notre personnel médical de pouvoir continuer de sauver des vie et donc de faire leur travail. Mais aussi de pouvoir avoir des matières premières ainsi que du matériel de protection. Etant donner que malgré le fait qu’il n’y avait plus de matériel respiratoire, des sociétés ont réussit à modifier le masque de plongé décathlon pour qu’il puissent être  branché au respirateur et donc pouvoir sauver plus de vie. Il y a aussi le fait qu’avec le manque de masque, il a fallu trouver une solution pour pouvoir protéger le reste de la population et donc la c’est l’entraide qui est venu car énormément de personne on fait des masque en tissue. Pareille pour les matières premières ou les entreprises se sont échanger entre elle pour avoir ce qu’il leur manquer pour produire.

Une autre chose que j’ai appris c’est que le continent africain que la plus part des personnes penser en difficulté à réussir à avancer dans la crise grâce à l’entraide international, c’est vrai. Mais il y a aussi le fait que la futur génération africaine à eu des idées créatif et innovante pour permet à leur différent pays de pouvoir sur certaines chose se passer en partie des pays riches. Il y a le fait par exemple qu’ils ont réussit à créer les premiers prototypes de respirateurs artificiels made in Togo ou bien il y a aussi ces étudiants qui ont mis au point un système de lavage des mains sans tourner le robinet.

Malgré le fait que les jeunes soit créatif et qu’ils aident le monde, il leur faut bien s’amuser et donc le domaine de la culture à réussit à ce réinventer.

Comment la culture va-t-elle pouvoir se sauver malgré la crise et les contraintes liés avec ?

Un des domaines les plus touchés, est celui de la cultures étant donner qu’avec les confinements ils ont été obliger de fermer. Mais aussi il y a eu toutes les restrictions qui les ont obliger à se maintenir fermer. Que ce soit les musées, les festivals, les théâtres, les cinémas, etc. Surtout que tous se qui pouvais leur rapporter de l’argent à coter, a aussi été fermé. Ce ne sont pas les seuls qui ont été toucher par la fermeture étant donné que toutes les entreprise qui touche de loin ou de près à se secteur on perdu de l’argent, il y a aussi les communes et les collectivités qui n’ont pas perçu de revenu pour les différentes taxes. En plus de cela les personnes ne peuvent presque plus d’avoir d’activité extérieur.

Malgré tous cela certains festival on fait preuve d’idée et de créativité pour permet à tous le monde d’avoir une vie à près normal que ce soit à leur fan ou non, en leur permettant de voir et d’entendre un festival tout en respectant les protocoles sanitaires. Que se soit en limitant le nombre de personne et/ou en le retransmettant sur internet et les réseaux sociaux. Malgré tous cela la culture à pu être en partie sauver grâce au nouvelles technologies et aussi grâce à l’entraide.

Il y a aussi le fait que pendant la période des fêtes la cultures aident les personnes dans le besoin ou dans la précarité et cet année alors qu’ils avaient le plus besoins d’eux avec les restrictions sanitaires personnes n’a pu les aider comme il le voulait. Mais malgré cela nous avons pu être créatif pour essaye de donner et d’aider au maximum les personnes qui avait besoin de nous que ce soit avec des produits physique ( ex: nourriture, vêtement) mais aussi avec des sourires et de l’aide phycologique.

Pour conclure, cette crise nous a permis d’apprendre aussi que malgré les épreuves qui nous attende dans le futur en étant créatif, en sachant innover mais aussi en étant solidaire. C’est pour cela que nous devons continuer de faire ce que nous faisons et que tous les métiers sont important. De plus l’être humain peux faire de grande choses.

Guillemot Thomas

 

  • Amadou Nassifa, Guézodjé Rodrigue et Zanem Nety Zaidi. La créativité pour lutter contre le Covid-19 en Afrique. DW ( radio allemande et c’est en ligne), 28/04/2020. Consulté le 18/02/2021. Disponible sur : 

https://www.dw.com/fr/la-cr%C3%A9ativit%C3%A9-pour-lutter-contre-le-covid-19-en-afrique/a-53266427

  • Capitanescue Benetti Andreea et Connac Sylvain. L’école à l’heure du Covid 19. A quelle vie L’école nous prépare-t-elle ? Archive ouverte UNIGE ( en ligne),  17/03/2020. Consulté le 17/02/2021. Disponible sur :

https://archive-ouverte.unige.ch/unige:132658

  • Courrier international. Rentrée scolaire: Le chaos mondial. Courrier international ( disponible au CDI, sur papier), 27/08/2020. Consulté le 12/01/2021. Disponible au CDI.
  • de Rubercy Joséphine. Comment cinq festivals se sont réinventés face au Covid-19. France inter ( en ligne), 15/08/2020. Consulté le 24/02/2021. Disponible sur 

https://www.franceinter.fr/comment-cinq-festivals-se-sont-reinventes-face-au-covid-19

  • Dumont Gérard-François et Paponnaud Françine. Après le Covid-19: “réinventer”  l’aménagement du territoire. Archives ouvertes HALSHS ( en ligne), 22/04/2020. Consulté le 17/02/2021. Disponible sur :

 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-02550326/document

  • Lion Valérie. Dans la crise, c’est le moment de se réinventer. L’express ( en ligne), 18/04/2020. Consulté le 19/02/2021. Disponible sur: 

https://lexpansion.lexpress.fr/entreprises/dans-la-crise-c-est-le-moment-de-se-reinventer_2124805.html

  • Parmentier Guy. Comment la créativité peut aider à surmonter la crise du Covid-19. The conversation ( en ligne), 30/03/2020. Consulté le 18/02/2021. Disponible sur : 

https://theconversation.com/comment-la-creativite-peut-aider-a-surmonter-la-crise-du-covid-19-134859

  • Planchon Adrien. Covid-19: réinventer la solidarité pendant les fêtes. La nouvelle république ( en ligne), 16/12/2020. Consulté le 18/02/2021. Disponible sur: 

https://www.lanouvellerepublique.fr/blois/covid-19-reinventer-la-solidarite-pendant-les-fetes

  • Quenet Marie. Face au Covid-19, les professeurs réinventent le sport à l’école. Le journal du dimanche ( en ligne), 8/12/2020. Consulté le 24/02/2021. Disponible sur: 

https://www.lejdd.fr/Societe/Education/face-au-covid-19-les-professeurs-reinventent-le-sport-a-lecole-4010451

  • Tachot Aurélie. Et si la Covid-19 était l’occasion de réinventer ses RH. Article du Figaro ( en ligne), 30/11/2020. Consulté le 18/02/2021. Disponible sur: 

https://recruteur.lefigaro.fr/article/et-si-la-covid-19-etait-loccasion-de-reinventer-ses-rh/

 

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La résilience politique, culturelle et sociale après une catastrophe

Dans un monde où les catastrophes se produisent de plus en plus, les populations doivent faire preuve de créativité. Elles mettent alors en place une résilience afin de mieux prévenir les prochains sinistres. Cela passe par différents aspects tels que politique, culturel et économique.

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Eddy Vaudel
11 janvier 2016
source : Flickr

Une pensée politique face aux catastrophes 

D’après Béatrice Quenault, les politiques ont un discours d’impuissance assumé face aux catastrophes ce à quoi ils s’adaptent en préventif face aux catastrophes mais aussi en faisant des sacrifices pour arriver à des finalités comme construire sa maison près d’une rivière implique le sacrifice des inondations, qui est selon eux une définition de résilience qui est une catastrophe acceptable souvent tabou et à une idéologie qui veut normaliser les catastrophes afin de les définir acceptables. Dont je cite ses propos : “L’hypothèse implicite que la résilience serait une propriété statique des systèmes et qu’une fois définie la forme de la vallée resterait inchangée au cours du temps. Or, les travaux récents indiquent que dans le cas des systèmes complexes les domaines de stabilité sont dynamiques et variables).”

En France la capacité d’apprentissage liée à ces catastrophes n’est pas assez exploitée et doit être renforcée.

Dans les systèmes urbains il y a un enchevêtrement de système complexe qui crée une fragilité et crée un effet de chaîne dans les catastrophes. La résilience lie un choc local à un choc qui peut être planétaire. Une temporalité de crise va se créer :

– A court terme, il y a la gestion de crise et donc d’y faire face.

– A moyen terme qui est le retour à la normale avec le temps de sortie de crise.

-A long terme avec l’adaptation en apprenant de la crise et en repensant le système urbain.

Un schéma politique va alors se créer dans le système : le choc, l’apprentissage et l’adaptation, et un choc moins puissant et dévastateur.

Ces dernières années on recense l’augmentation de crises. La résilience devient un objectif durable et une valeur universelle, elle devient ainsi une nouvelle condition pour obtenir de l’aide mais aussi des fonds à la suite des catastrophes.

Ce n’est plus l’état qui “gouverne les catastrophes » mais ce sont les catastrophes qui gouvernent l’état.

C’est pourquoi l’État cherche à responsabiliser la société à la résilience en inculquant une culture du risque en informant et éduquant les populations tout en faisant confiance aux autorités et communautés locales pour gérer les situations d’urgence.

D’après Ludovic Faytre, travaillant depuis 25 ans dans le domaine de l’aménagement du territoire et de l’intégration des enjeux environnementaux, une résilience unique n’existe pas face à de différentes catastrophes naturelles à cause de la complexité du système métropolitain ainsi que la diversité des acteurs ou encore la réaction des populations.

La résilience ne se fait pas seulement au niveau politique mais aussi au niveau culturel.

La résilience aux catastrophes dans la culture d’une personne ou d’une société

D’après Aline Richard, les catastrophes évoluent selon le niveau de développement d’un pays, c’est pourquoi une société contemporaine serait davantage productrice de risque. Les progrès technologiques dans certains cas peuvent être facteurs de fragilisation.

Les éléments culturels sont un puissant moteur de la résilience. Une catastrophe peut avoir une répercussion sur d’autres systèmes comme la santé ou encore la production. Les aléas naturels jouent un rôle important dans les catastrophes.

Les pays industrialisés sont plus vulnérables aux risques naturels, nous sommes donc entrés dans l’ère du risque global.

Par exemple, les catastrophes en chaîne du japon en mars 2011 ont eu un impact sur le territoire mais aussi un impact sur la santé et la production avec des terres salinisées par le tsunami.

D’après Danielle Maltais, Mathieu Roy et Vanessa Bolduc (Et d’après les travaux de Marie Anaut), les êtres humains réagissent différemment face à l’adversité. Certaines personnes, à la suite d’une exposition à un sinistre, développeront des problèmes de santé ou de fonctionnement social. D’autres personnes, exposées aux mêmes événements, s’en sortiront indemnes sans que leur santé physique ou psychologique, leur moral ou leur qualité de vie ne soient affectés. La majorité des personnes exposées à un sinistre s’en sortent sans développer de troubles psychiatriques ou de problèmes de fonctionnement social malgré le fait qu’elles doivent apprendre à gérer diverses manifestations de détresse émotionnelle à court ou à moyen terme.

On le voit avec les rassemblements de population après les catastrophes (Fukushima par ex), les commémorations, les monuments etc… La solidarité semble faciliter la résilience.

La créativité peut se manifester à travers l’art, et peut provoquer dans le public une réflexion sur les risques de catastrophes et la résilience que la science, les données et les chiffres ne pourraient inspirer. comme le Laboratoire d’innovation de la Facilité Mondiale pour la Prévention des Risques de Catastrophes et le Relèvement (GFDRR), qui est en liaison avec le Centre climatique de la Croix-Rouge/Croissant-Rouge, ont exploité les possibilités de l’art pour communiquer sur les risques et le GFDRR et le Programme artistique du Groupe de la Banque mondiale lancent aussi un appel à projets mondial en vue d’une prochaine exposition intitulée L’Art de la résilience avec cette citations : “Nous connaissons donc de nombreux exemples de créations innovantes qui incitent le public à s’arrêter, à réfléchir et à s’engager en faveur du climat et de la lutte contre les risques de catastrophe. “L’Art de la résilience cherche à réunir ceux qui savent, ceux qui agissent et ceux qui créent pour imaginer de nouvelles façons de réfléchir aux catastrophes.”

D’après André Dauphiné professeur de Géographie ainsi que Damienne Provitolo Chargée de recherche, depuis plusieurs siècles les ingénieurs mettent au point une stratégie qui visent à améliorer la résistance des sociétés face à un aléa, en calculant les magnitudes de plus en plus précises de cet aléa, puis persuadent les responsables d’édifier un équipement de défense pour équiper la société. Cette stratégie a permis de faire construire des digues le long des fleuves, des barrages en amont et des mesures antisismiques qui entrent dans l’évolution de la culture en fonction de leur situation géographique.

La résilience culturelle passe par des projets qui ont des prix.

Les catastrophes ont un prix avant et après leur passage

Selon Anthony Laurent, la stratégie de résilience de Paris face à la Seine, en acceptant sa vulnérabilité, 7,2% de la population régionale est exposé directement par le risque.

En 2016, les dégâts ont coûté 1 milliard d’euros.

Une stratégie a donc été mise en place avec  10 % d’investissement pour améliorer la résilience. Il y aussi des stratégies locales qui se sont mises en place, des aménagements en zones inondables mais aussi des exercices de simulations grandeur nature.

La stratégie principale de Paris est d’associer tous les acteurs de la ville dans la résilience.

D’après l’article de “The times of Israël”, la créativité permet la résilience à la suite des catastrophes naturelles. Des reconstructions d’habitations sont conçues pour les individus dans le besoin après une catastrophe naturelle.

Par exemple, l’entreprise israélienne Keter Plastic est connue pour ses abris de jardin do it yourself et ses boîtes de stockage en plastique. Elle utilise des panneaux très légers pour fabriquer des murs en plastique. Ils sont ensuite envoyés sur le terrain et enduits de boue locale ou d’autres matériels pour créer des logements temporaires confortables.

On peut en conclure que les catastrophes engendrent de la créativité pour se relever. Cela crée une résilience qui passe par le domaine politique afin de mettre en place des critères et des lois pour lutter. Le domaine socio-culturel aide aux populations à travers l’art, la santé et la géographie  à faire preuve de résilience. Mais cette résilience à un coût qui se classe dans le domaine économique pour la rendre réalisable.

Paris Under the Waters: The Square Boats (1910)
The Casas-Rodríguez Postcard Collection
17 avril 2009
source:Flickr

Osganian Coralie et Coulerot Florentin

  • LAURENT Anthony.La résilience de Paris à l’épreuve de la Seine. Environnement Magazine N°1762,12/2017. [consulté le 15/01/2021].

https://journals.openedition.org/developpementdurable/11010

https://journals.openedition.org/vertigo/14510

https://journals.openedition.org/developpementdurable/10683