Pendant un moment en Europe, la mortalité infantile était considérée comme étant une fatalité. Pourtant au début du 20e siècle la médecine des enfants prend un second souffle, malgré que les premières mesures sont légèrement plus ancienne, en effet, les règles d’hygiène et l’antisepsie arrivent vers la fin du 19e siècle. L’Afrique a quant à elle connu un départ plus difficile en ce qui concerne les progrès de la médecine infantile. Il existe de nombreuses disparités pour ce qui est des chances de survie de chaque enfants et de leur santé. Ces disparités persistent malgré d’important progrès qui ont fait reculer la mortalité infantile, pour passer de 12,6 millions en 1990 à 5,4 millions en 2017, le nombre d’enfants décédés a diminuer de plus de la moitié en un peu moins de 30 ans. Ces disparités sont toujours persistantes malgré le droit inaliénable que chaque enfant sur Terre bénéficie d’un bon départ dans la vie ainsi que d’une bonne santé. C’est donc pour cela que nous allons voir en quoi les innovations médicales ont permis de faire reculer la mortalité infantile dans les pays africains et européens. Dans un premier temps nous verrons les innovations ayant permis de faire reculer cette mortalité infantile, dans un second temps nous verrons les divers acteurs qui ont joué un rôle dans la lutte contre les maladies pouvant affecter les enfants, et dans une dernière partie nous verrons que malgré des avancées importantes il existe toujours et encore des disparités.
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Le robot est piloté par un humain via une interface extérieure. Cela peut passer d’une manette télécommandée, à de nombreux ordinateurs. En médecine, la plupart des robots sont guidées par des chirurgiens. C’est le cas du robot Da-Vinci. Celui-ci est contrôlée en temps réel par un chirurgien via deux écrans et deux manettes. Il existe également des robots autonomes, où le médecin prescrit les actions à faire avant que le robot ne commence son travail. Comme par exemple Lena, le robot chirurgie esthétique. Le médecin prescrit les doses et les zones à injecter avant l’opération. Certains robots sont dotés d’une intelligence artificielle qui leur donne une « conscience ». Ceux-ci peuvent discuter avec les patients et réfléchissent par leurs propres moyens. Julia fait parti d’eux. Elle a le rôle d’un médecin traitant et interagit avec le patient.