La France est un grand champion des réformes sur les conditions de travail, pour un travail toujour plus éthique et humain. Rendez-vous compte : réduction du temps de travail, instauration du smic, amélioration des conditions de travail, interdiction du travail des enfants. Imaginer en France, après des années de lutte socialiste et de progrès frénétiques, une dégradation des condition de travail qui touche tous les domaines de l’emplois et la sous-traitance. Et bien figurez vous que cette dégradation est bien là.
Et la desente dans le travail indigne est bien là, de nombreuses observations et études montre en effet que les conditions de travail connaissent une importante dégradation tous domaines confonduent. Avec à la clé : mal-être au travail, burn-out, plus d’arrêts maladies, plus d’accidents avec des conséquences néfastent plus durable. Les entreprises qui font de la sous-traitance sont particulièrement touchées par cette dégradation.
Le cadre de la sous-traitance.
Avoir le droit de recourir à la sous-traitance, ce n’est pas avoir le droit de recourir à l’esclavage. La sous-traitance est une pratique très réglementé (dommage que cette réglementation ne suffise pas toujours). La sous-traitance, c’est le fait pour une entreprise de demander à une autre entreprise d’effectuer pour elle une partie des travaux dont elle est normalement chargée. Une entreprise peut recourir à plusieurs sous-traitants mais bien-sûr chaque sous-traitant doit être déclaré.
Le travail en France est de pire en pire.
La mondialisation à entrainée en France une mise en cucurence déloyale des travailleurs français et des travailleurs étranger, les entreprises préfèrent parfois employer ces derniers. Résultat une pression de plus en plus lourde sur les cadres qui pressent les travailleurs, et ne repectent pas les temps de pause pour tenirs les délais de plus en plus court. Et dans les entreprises sous-traitantes la situation est encore pire.
Un exemple scandaleu.
On voi donc passer des exemple scandaleux de ce qui peut être qualifié de traite d’êtres humains (esclavage). Un exemple frappant se trouve en Champagne, sous les fortes chaleurs au moment des vandanges. Des travailleurs sans papiers travail soug le joug de contremaîtres armés de matraques et de gaz lacrimogène. Evidament tous les patrons des entreprises qui exploitent les vignes assure ne jamais avoir vu ses travailleurs, dont l’employeurs est presque impossible à retrouver dans la cascade de sous-traitant qui travail dans les vignes.
Mais comment ça se passe dans le reste du monde
Hugo.RECCHIA