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Délinquance a la frontière du Mexique et des Etats-Unis

Introduction

 

Le problème de l’immigration clandestine est un sujet qui revient souvent au-devant de l’actualité surtout aux Etats-Unis c’est pour cela que nous avons pensés intéressant de traiter ce sujet en rapport avec notre thème qui est la migration.

Pour l’étude du sujet, nous nous sommes référés à une dizaine de documents, dont des articles de presses professionnelles et de textes issus d’organisations à but non lucratif.

_Deux de ces articles proviennent d’un journal canadien « la Presse », le premier a pour titre « E-U : 1200 soldats pour sécuriser la frontière mexicaine » écrit par l’Agence France-Presse Et l’autre se nomme « Frontière américano-mexicaine : les tunnels de la drogue se multiplient » rédigé par Emmanuelle Steels.

_ L’article « Deux tunnels de trafiquants découverts entre le Mexique et les Etats-Unis » tiré du journal huffingtonpost écrit par Elliot Spagat et Jacques Billeaud.

_ « Des drones sur toute la frontière américano-méxicaine » du journal slate rédigé par Taylor Barnes.

_ « Découverte d’un important tunnel à la frontière des Etats-Unis avec le Mexique » du journal le Point qui la récupérer sur AFP.

_Trois textes issus d’ONG, l’un de Caritas qui se nomme « Au Mexique, les migrants prennent tous les risques pour atteindre la frontière avec les Etats-Unis » rédigé par un membre de l’association, un autre de futurquantique nommé « les drones prédator déployés à la frontière Mexique-USA » pris sur le site 911NWO rédigé par l’admin JoseW.

_ Passage de l’article « une frontière sous très haute surveillance.. » tiré de géographie-sociale.

Ces documents nous ont aidés à répondre à la question suivante : l’immigration clandestine entre le Mexique et les USA est-elle source de délinquance ? Dans un premier temps nous parlerons des conditions de vie au Mexique et les motivations pour passer la frontière illégalement. Ensuite on parlera de la délinquance provoqué par l’immigration clandestine. Et pour finir on vous présentera les différents moyens mis en place pour limiter l’immigration clandestine.

 

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Sports extrêmes: risque inconsidéré ou voyage hors-norme?

Introduction :

La fin du 20éme siècle a vu le développement d’un nouveau type de sport où les sportifs peuvent aller jusqu’à mettre leur vie en jeu au cours d’épreuves extrêmement difficiles et dangereuses. Aujourd’hui, des épreuves sont organisées en divers points du globe. Ce nouveau type n’est-il qu’une prise de risques irresponsable et inutile ou alors est-ce une aventure sportive hors-norme ?

Nous nous baserons sur plusieurs articles du Monde, sur un article de D. Luc publié sur  le site Psychologie.com et sur un exposé Florent Duclerc.

Dans un premier temps nous montrerons que ce type de sport n’est qu’une prise de risque irresponsable, puis dans un second temps nous verrons qu’il s’agit d’une aventure sportive hors-norme.

1)     Sports extrêmes : Prise de risque inconsidérée

Les sport extrêmes sont ancrés dans plusieurs domaines sociologiques tel que  la politique, la culture ou encore les médias qui relatent tous les phénomènes sportifs allant des Jeux Olympiques, coupes du Monde, des Championnats, coupes jusqu’au sports régionaux. Ce domaine touche autant les professionnels que les amateurs à la recherche de sensations fortes.

Les sportifs de l’extrême, toujours attirer par le risque et le danger pour leur dose d’adrénaline font et feront toujours le bonheur des spectateurs et alimenteront ainsi notre machine culturelle en marche. Ainsi nous sommes alimenter par des carburants plus ou moins explosifs ou tout le monde peut apprécier le sport extrême à sa juste valeurs, quelques soit le risque (niveau de dangerosité : le ski acrobatique, le free-ride, le dirt,…), la sensation (le parachute, la chute libre,…) ou l’intensité (sport d’endurance : défis de l’IronMan en Indonésie, l’Ultra-Trail du Mont Blanc, le Marathon,…) (Doc 3). Ces sports plus ou moins extrêmes, selon la vision de chacun, font prendre aux sportifs professionnel ou simples amateurs des risques inconsidérés, voir allant jusqu’à la mort de celui-ci. « Ce danger est certes calculé, mais le risque zéro n’existe pas» (doc 3) du fait des limites du corps, de l’environnement, ou encore des problèmes de matériels. Ces facteurs, plutôt faibles, font quelques morts dans le monde.

L’environnement est le facteur le moins incontrôlable, donc le plus meurtrier. Car, ne l’oublions pas, pour pouvoir pratiquer ce sport il faut un environnement spécial qui puisse regrouper tous les caractères nécessaires à la pratique de ce sport. Et cet environnement spécial ne peut se trouver dans des milieux inhospitaliers qu’ils soient sur terre, dans les airs ou dans l’eau. Cette diversité de milieux oblige l’homme à voyager à travers le globe à la rencontre de nouveaux paysages et d’horizons. Cela n’empêche pas la mort de frapper, comme lors de la vingtième Edition du Grand Raid de la réunion ou un participant no sponsorisé mais expérimenté décéda après une chute de 30 mètres alors qu’il était classé au-delà de 100eme place sur les 2700 (Doc1). Ce genre d’accident arrive plus souvent au sportifs les plus confiant et donc moins attentif aux milieux qui l’entoure. Mais quel que soit l’expérience et les niveaux  du sportif les limites du corps ne peuvent être dépassé sans conséquences pouvant entrainer la mort (Doc 2)

Les sports extrêmes qu’ils soient plus ou moins dangereux amèneront gloire et adrénaline aux sportifs, et ceci tous tout autour du monde tant par leurs origines que par leurs histoires. Mais les risque sont omniprésents et les accidents, les erreurs ont des conséquences dramatiques autant pour les professionnels que pour les amateurs exerçant leurs activités aux quatre coins du monde.

Ou se situe les limites du sport et du voyage ?

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Le voyage des réfugiés Nord-Coréens en Corée du Sud

Introduction

                Le sujet proposé aborde un thème récurant vis-à-vis de la société actuelle : la mobilité. En effet, cette mobilité touche une importante part de la population mondiale. Parmi cette tranche de population, le cas des réfugiés politiques et économiques représente, certes, une minorité, mais pose d’inquiétantes questions.

                 C’est le cas de la Corée du Nord, qui depuis le début des années 1990 voit une partie de sa population fuir un régime politique totalitaire ainsi qu’une famine de longue durée. Ce mauvais état de santé du peuple est en partit dû à la mauvaise gestion du pays que Kim Jong-Il eu. Selon Kenneth Roth, le dictateur Nord-Coréen  « laiss[a] son peuple mourir de faim ». Les réfugiés Nord-Coréens désireux de fuir,  entament alors un long voyage jusqu’au pays frère, la Corée du Sud. Mais, cet exil ne s’avère pas être une tâche évidente. En effet, ces deux pays sont séparés par la DMZ, une zone démilitarisée large de 4 km, dernier vestige de la Guerre Froide, étroitement surveillée par les deux armées. En conséquent, les réfugiés Nord-Coréens s’obligent une traversée éreintante de la quasi-totalité de l’Asie de l’Est.

                Il serait donc intéressant pour nous de profiter de ce blog afin d’exposer le problème réel auquel les réfugiés Nord-Coréens sont confrontés. Ainsi, la question primordiale qui se pose est : en quoi le voyage des réfugiés Nord-Coréens jusqu‘en Corée du Sud est-il un périple ?

                Notre post sera donc une décomposition de ce voyage en trois parties. La première relatant des conditions de vies du peuple Nord-Coréen, une seconde traitant des différents points de passage importants que franchissent les réfugiés, ainsi qu’une troisième et dernière partie sur la (sur)vie en Corée du Sud. Pour ce faire, nous nous appuierons de documents rédigés par des rédacteurs de journaux reconnus tels qu’Arnaud DUBUS et Caroline PUEL pour Libération, Anna FRANCHINI pour Aujourd’hui le monde, Céline LUSSATO et Pascal PIEDBOIS LEVY pour Nouvel observateur, un article de Roland BLEIKER et Bruce CUMMINGS de l’Atlas Diplomatique du Monde ainsi qu’un film documentaire récompensé au Prix Albert Londres réalisé par Alexandre DEREIMS, Han le prix de la liberté. Pour commencer ce voyage, débutons à la source : la Corée du Nord.

La Corée du Nord, une vie éprouvante.

                La Corée du Nord est le dernier régime totalitaire communiste dans le monde. Son indépendance obtenue le 15 août 1945 du Japon fait de la Corée du Nord un état jeune. Les ressources financières dégagées en font un pays économiquement stable, mais c’est l’autosuffisance alimentaire que recherche ce pays. En effet, plusieurs facteurs sont responsables de la famine qui perdure depuis 1995. Une série de catastrophes climatiques telles que des sécheresses, des hivers rudes ainsi que de fortes inondations (11% des récoltes détruites en 2007 selon la Food Agricultural Organization). De plus, une utilisation importante d’engrais ainsi qu’une déforestation on entrainées une grande diminution des terres agricoles. C’est durant la décennie de 1990 qu’a lieu la « marche de la souffrance ». C’est en fait le nom donné à la famine qui terrassa le pays. Selon Stephan HAGARD et Marcus NOLAND, la Corée du Nord atteint son « pic de mortalité » due à la famine en 1997. Entre 1,5 millions et 3,5 millions de victimes sont déplorées sur 22 millions d’habitants, soit 11% de la population. Des cas de cannibalisme sont alors recensés au travers du pays. D’après Cécile LUSSATO, 40% de la population est estimé en « malnutrition très importante ». La Corée du Nord fit appel à plusieurs reprises à l’Aide Alimentaire Internationale, dont la plus récente en 2011. Mais le manque alimentaire n’est qu’une partie du calvaire enduré par les nord-coréens.

Drapeau de la République Populaire Démocratique de Corée

                L’eau potable devient une denrée rare. Comme nous l’avons constaté dans le documentaire d’Alexandre DUMAS, les villageois doivent aller creuser dans la glace de la rivière afin de subvenir à leurs besoins en eau, et ce grâce à des seaux de fortunes. Par là même, une pénurie de médicaments est constatée. D’après l’écrivain spécialiste de la Corée Juliette MORILLOT « Les antibiotiques sont hors d’accès, si ce n’est au marché noir ». Céline LUSSATO appuie même ce fait « les hôpitaux et cliniques de Pyongyang [la capitale] sont d’assez haut niveau mais le pays est touché par une véritable pénurie de médicaments », tandis que le reste du pays ne peut simplement se guérir de maux bénins. Selon la Croix-Rouge, 60 à 70% des besoins Nord-Coréens en médicaments dépendent de l’étranger. Pourtant, la culture du pavot destinée à des fins pharmaceutiques s’avère en fait être utilisé pour la fabrication de drogues telles que l’opium ou l’héroïne. Certains diplomates Nord-Coréens sont même accusés de narcotrafic.

                La Corée du Nord est considérée comme l’un des pays les plus renfermé du monde. Son peuple subit une propagande permanente. En effet, la diffusion de chansons glorifiant le « Cher Leader » est répétée à longueur de journée, tandis que l’écoute de musique internationale est interdite, ayant pour risque une évolution de pensée du peuple.

                Une frontière peu perméable séparant la Corée du Nord de la Chine est la seule échappatoire possible pour les citoyens visant une fuite vers le pays frère : la Corée du Sud. Mais pour une plus forte chance de réussite, cette traversée ne s’effectue pas seul. L’appel à un passeur s’avère primordiale.

Passage en Chine et voyage jusqu’en Thaïlande

                Les réfugiés arrivent alors à la frontière. Deux tiers de ces personnes sont des femmes. Mais pour chacun d’entre eux, c’est une prise de risques considérables. Car en effet, si ces personnes se font prendre par la police Chinoise, c’est un renvoi immédiat dans leur pays natal qui les attend. Ils seront alors considérés comme traitres vis-à-vis des autorités Nord-Coréennes. Une peine de mort est alors inévitable dans la majorité des cas. Ce sont des exécutions publiques, la condamnation dans des camps de travail ou des camps de concentration, ou encore de terribles tortures qui leurs seront infligés.

                Mais pour les passants, si tout se passe bien, c’est un voyage éprouvant de plusieurs mois ou années qui les attendent. Maints obstacles se présentent alors. Tous d’abord, c’est la mafia Chinoise dont les femmes doivent à tout prix se méfier. En effet, 30000 femmes ont déjà été vendues (entre 60 et 80€) ou mariées de force en Chine depuis le début de cette immigration Nord-Coréenne. Il est aussi à signaler que chaque citoyen chinois est récompensé d’une prime équivalente à 300€ s’il aide les autorités locales à trouver un réfugié nord-coréen.

                C’est à partir de ce moment que le passeur, tel un berger, ayant pris contact ultérieurement avec les réfugiés, les rencontre enfin. Dès lors, leurs vies dépendent quasi-entièrement de leur guide.  De fausses cartes d’identité chinoises seront confectionnées afin de faciliter les contrôles des autorités chinoises. Pour certains, c’est un voyage jusqu’en Mongolie par trains et bus qui commence. Le passage dans la gare est une des étapes les plus dangereuses à cause des contrôles d’identité réalisés par la police. Ils rejoindront ensuite la Thaïlande, seul pays asiatique à envoyer les réfugiés nord-coréens en Corée du Sud, par moyens pédestres et motorisés. Pour d’autres, un trajet de plus de 5000 kilomètres en bus jusqu’au Laos leur fait front. Là aussi, la police locale les traque. Un passage en pirogue sur le Mékong pour atteindre la Thaïlande est la dernière phase dangereuse de cette longue épreuve. L’entrée dans le pays par cette voie est appelée « La porte de la Liberté » et elle ravive le feu qui sommeillait dans leurs cœurs.

                Les réfugiés seront alors arrêtés par la police thaïlandaise ou se livrerons eux-mêmes afin d’être transférés dans le centre de détention du bureau de l’immigration à Bangkok, aux conditions d’hygiène déplorables. Ce centre contiendrait plus d’un millier de nord-coréens. Ils attendront, pour certains plusieurs mois dans le centre, jusqu’à l’obtention des papiers tant espérés leurs permettant d’accéder à leur but final, le départ pour la Corée du Sud.

                               

*La majorité des informations de cette partie sont tirées du film documentaire d’Alexandre DUMAS, Han, le prix de la liberté.

La vie dans le pays Frère

 

                C’est par bateaux que les réfugiés nord-coréens arrivent en Corée du Sud. Le dépaysement est total. En effet, la Corée du Sud et un pays prospère, où les nouvelles technologies affluent de part et d’autres. Des leur arrivée, les réfugiés sont pris en charge dans le centre de réadaptation de Hanawon. Ils sont alors accompagnés psychologiquement et éduqués afin de s’intégrer à ce nouveau monde. Le gouvernement sud-coréen leur attribue des aides leurs permettant d’avoir un minimum d’argent, mais leur situation reste précaire. Certains trouvent du travail, mais ils sont peut à avoir cette chance. Pour les autres, c’est généralement une dépression ou l’alcoolisme qui les guette. La perte de leurs racines ou la culpabilité d’avoir laissés leurs proches en Corée du Nord les rongent constamment. Les « chanceux » étant arrivé jusqu’au qu’en Corée du Sud sont peut nombreux, ils ne sont aujourd’hui que 13000 à vivre dans le pays selon le journal sud-coréen Chugan Chosun, contre 15000 à franchir la frontière séparant la Corée du Nord de la Chine chaque année. Quelques réfugiés nord-coréens nourrissent la volonté de rentrer dans leur pays natal, mais c’est une peine perdue. « Les rares immigrés nord-coréens […] vivent donc souvent un désenchantement profond après avoir traversé de terribles épreuves » souligne l’ONG Médecins sans frontières.

Quartier résidentiel de Séoul

              Les sud-coréens ne sont habituellement pas sympathisants envers leurs confrères du nord. Le rejet qu’ils génèrent provient en partie des actes de délinquance commis par les réfugiés s’obligeant à voler de la nourriture par manque d’argent. De plus, les citoyens sud-coréens identifient pour la plupart la Corée du Nord comme « un véritable royaume du mal » selon Pascal PIEDBOIS LEVY du Nouvel Observateur. Mais malgré ces différents, certains étudiants nord-coréens persistent dans leur volonté de changement de vie. La majeur partie de ces étudiants se déclarent satisfait de l’argent gagné grâce à de « petits boulots ». Toujours selon le journal Chugan Chosun, « ces emplois constituent pour eux un moyen de survie ». On peut donc voir que la vie en Corée du Sud est pour certains un renouveau, mais pour d’autres, ce n’est pas l’eldorado espéré. Un malaise est donc constaté dans cette partie de la population.

Conclusion

 

                Dans cet article, nous avons pu constater que les nord-coréens sont un peuple opprimé, coupé du monde, dont les droits civiques sont bafoués. Quel sort leur réserve l’avenir ? Le nouveau dictateur Kim Jong-Un rétablira-t-il une paix entre les deux Corée ? Appliquera-t-il une démocratie comme il se doit (le nom officiel de la Corée du Nord étant République Populaire Démocratique de Corée) ? Rétablira-t-il l’autosuffisance alimentaire que recherche le pays ? Ce qui est sur, c’est que tant que ces changements ne se feront pas, il y aura toujours des fuites humanitaires dans le pays.

                Nous pouvons considérer les conditions de vie des nord-coréens comme inhumaines. En effet, la première partie de ce blog nous à montrée que cette vie menée tant bien que mal est des plus éprouvante.  C’est ensuite le voyage entreprit jusqu’en Corée du Sud qui s’avère être lui aussi un calvaire car les chances d’y parvenir sont minces et les risques multiples. L’arrivée au pays frère ainsi que la vie espérée ne se déroulent pas forcément comme les réfugiés l’attendait. Pour certain c’est un renouveau qu’ils trouvent en Corée du Sud, mais pour d’autres, le retour au Nord paraitrait être la meilleur solution, mais hélas pour eux, c’est impossible. Nous ne pourrons donc pas décider du pour ou du contre à la question « Le voyage jusqu’au Sud vaut-il la peine d’être effectué ? », car c’est un point de vue personnel et propre au réfugiés eux-mêmes. A contrario, nous pourrons décider et répondre personnellement à la problématique posée « En quoi le voyage des réfugiés Nord-Coréens jusqu‘en Corée du Sud est-il un périple ? ».

Merci à vous pour votre lecture attentive.

BITSCHENÉ Étienne & REY Laetitia

  • AFP, Lepetitjournal [en ligne]., samedi 23 juin 2012, [consulté le 4 janvier 2012]. Immigration-19 Nord-Coréens fuyant le régime à Chiang-Rai. Disponible sur : http://www.lepetitjournal.com/bangkok/actu-en-bref-bangkok/112925-immigration–19-nord-coreens-fuyant-le-regime-arretes-a-chiang-rai.html

  • Bleiker, Roland et Cumings, Bruce. University of Minnesota. Géographie. L’Atlas du monde diplomatique, 2012, 165 p.

  • Cosmovision [en ligne]. 2005, [Consulté le 19 novembre 2012]. Tableau de Bord : Corée du Nord. Disponible sur : http://www.cosmovisions.com/CoreeNordTable.htm

  •  Dereims, Alexandre. Han le prix de la liberté, 2008. Edition Montparnasse, Coffret DVD : Grands Reporters  -Les films du prix Albert Londres

  •  Dubus, Arnaud. Libération [en ligne]. 24 août 2006, [consulté le 6 décembre 2012]. Arrestation massive de réfugiés nord-coréens à Bangkok. Disponible sur : http://www.liberation.fr/monde/010158399-arrestation-massive-de-refugies-nord-coreens-a-bangkok

  • Franchini, Anna. Aujourd’hui le monde [en ligne]. 16/02/2009, [Consulté le 6 décembre 2012]. L’immigration nord-coréenne a repris après les jeux Olympiques de Pékin. Disponible sur : http://coree.aujourdhuilemonde.com/l%E2%80%99immigration-nord-coreenne-repris-apres-les-jeux-olympiques-de-pekin

  • Piedbois Levy, Pascal. Le nouvel Observateur [en ligne]., 23-12-11, [consulté le 17 octobre 2012]. Le calvaire des réfugiés nord-coréens. Disponible sur : http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20111221.OBS7322/le-calvaire-des-refugies-nord-coreens.html

  • Wikipédia [en ligne].7 décembre 2012, [Consulté le 13 novembre 2012]. Diaspora coréenne. Disponible sur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Diaspora_cor%C3%A9enne