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Les énergies renouvelables : une solution bénéfique et nécessaire pour l’avenir.

“Energy communities report” – Joint Research Centre

Entre énergies fossiles, énergies renouvelables et nucléaire, le choix des meilleures sources pour notre système énergétique fait débat.

La transition énergétique a débuté depuis plusieurs années mais elle pose toujours autant de questions. Entre des énergies qui ont fait leurs preuves – en nous permettant de consommer à foison mais en engendrant une des plus importantes problématiques de notre société – et des énergies nouvelles – qui nous permettraient d’atteindre la neutralité carbone mais qui produisent en intermittence – le choix s’avère être difficile et il va falloir prendre des décisions qui auront des conséquences importantes.

Énergies fossiles : le temps nuit à ces ressources néfastes

Notre système énergétique actuel, basé majoritairement sur les énergies fossiles, s’avère ne pas être durable. En effet, les réserves de ces ressources s’épuisent progressivement. La production énergétique n’est pas pérenne étant donné que les sources fossiles sont épuisables sur le long terme. Ainsi, en plus de subir le phénomène de raréfaction des ressources, leur exploitation favorise le dérèglement climatique. Cela est dû à l’émission importante de CO2 dans l’atmosphère. Effectivement, la production d’énergie est la plus grosse source de rejet de dioxyde de carbone et génère 35% des émissions de carbone au niveau mondial. 

Seulement nous sommes encore tributaires des énergies fossiles puisqu’en 2017, la part d’utilisation de ces dernières était de 44%. La France est énergétiquement dépendante d’autres pays : elle importe aujourd’hui 98,5%  du pétrole,  98% du gaz naturel, 100% du charbon et 100% de l’uranium dont elle dispose. Mais depuis plusieurs années, une transition énergétique a été instaurée afin de passer à un système énergétique plus durable et respectueux de l’environnement. C’est alors que l’utilisation de ressources renouvelables s’est avérée être une bonne opportunité.

Les énergies renouvelables, la solution énergétique pour l’avenir

Une transition énergétique a, ainsi, été réfléchie et instaurée depuis plusieurs années. Des politiques publiques ont, d’ailleurs, été mises en place afin d’accélérer cette transition. Effectivement, en France, une loi relative à la transition énergétique a été mise en vigueur le 17 août 2015 dans le cadre d’une politique européenne. Cette dernière engage l’entièreté du pays et mobilise une quantité importante d’outils et de matériels de manière à fournir les meilleures conditions pour réaliser la transition. Et cela, afin de lutter plus efficacement contre le dérèglement climatique, de renforcer l’indépendance énergétique du pays et de garantir un accès à l’énergie à des coûts compétitifs. Si les énergies renouvelables ne participent pas à renforcer le changement climatique c’est parce que leur production émet peu de CO2 par rapport à l’exploitation des ressources fossiles comme la géothermie qui génère 12 fois moins de gaz à effet de serre que le gaz. Les énergies renouvelables sont même considérées comme des énergies pouvant permettre d’atteindre la neutralité carbone, comme l’hydrogène vert.

De plus, ce secteur énergétique renouvelable participe au développement économique du territoire. En effet, l’un des objectifs de la transition énergétique est la création d’emplois : l’installation des structures ainsi que la production liée aux énergies renouvelables ont déjà fait émerger une quantité importante de métiers et de postes affiliés. Entre 2006 et 2016 nous avons pu voir une évolution positive dans ce secteur : notamment avec 3,5 fois plus d’emplois dans la filière biogaz ; 3,1 fois plus pour la géothermie ; 2 fois plus pour l’éolien et 1,4 fois plus pour le solaire. Par ailleurs, plus concrètement, en Bretagne, les plateformes éoliennes en mer ont été favorables à l’embauche de plusieurs centaines de travailleurs. Miser sur les énergies renouvelables est nécessaire sur le point économique, en effet, selon Jean-Charles Larsonneur, député du Finistère : “il faut investir tant que nous en avons encore les moyens pour assurer la résilience énergétique de notre pays et nous garantir une énergie abordable en quantité suffisante dans les années à venir. Sans cet effort, nous deviendrons encore plus dépendants et subirons la hausse des prix”.

En outre, ces énergies sont abordables par tous, notamment parce qu’elles sont de moins en moins coûteuses à installer. Et surtout, on peut les retrouver partout : sur des propriétés de particuliers, des exploitations agricoles ou des entreprises privées dont l’activité n’est pas la production énergétique. Certaines sources sont même plus performantes que nos énergies actuelles telles que la géothermie qui est 5 fois plus performante. Mais ce ne serait pas la seule solution aux énergies fossiles.

Le nucléaire, une alternative nocive

Pour certains, le nucléaire est une solution complémentaire aux énergies renouvelables étant donné que celles-ci ont une production discontinue. En effet, la nuit il n’y a pas de production d’énergie solaire et dans le cas de l’énergie éolienne, s’il n’y a pas de vent ou s’il y en a de trop alors les éoliennes s’arrêtent empêchant donc la production d’électricité. Puisque que les centrales nucléaires sont en constante production, on parle du nucléaire comme étant complémentaire à ces énergies renouvelables. Seulement, l’énergie nucléaire est tout de même très controversée. Si elle ne fait pas l’unanimité c’est parce qu’elle engendre des déchets radioactifs, qui le resteront durant plusieurs siècles voire millénaires. C’est pour cela que la transition énergétique a été mise en place pour réduire progressivement cette sorte d’énergie. Mais en France, le nucléaire est la deuxième source d’énergie la plus consommée avec 40% des proportions juste après les énergies fossiles.

Reste à savoir si nous allons pouvoir nous défaire un maximum de ces sources d’énergie qui favorisent la dégradation de l’environnement et de la planète. Parviendrons-nous à faire des énergies renouvelables la source énergétique la plus produite et la plus consommée en France ? Aujourd’hui, il est plus que nécessaire de réfléchir et d’agir rapidement dans le cadre de la transition énergétique. Notre futur en dépend.

HOUMBOUY Loba

PERNOT Noémie

SOURCES

  • ANGELLIERHORIZONS. Les énergies renouvelables : la relève. La culture par Angellier, mars 2021 – [consulté le 15 janvier 2023]. Disponible sur https://angellierhorizons.wordpress.com/2021/03/12/les-energies-sont-partout-dans-nos-vies/ 
  • GIRARD, Robin. Eolien, nucléaire, photovoltaïque : quelles énergies en 2030 ? Biot.fr, novembre 2018, Page 7, [consulté en décembre 2022]. Disponible sur http://www.biot.fr/wp-content/uploads/2018/09/Science-culture-pour-tous-sept-dec-2018.pdf

Cet article est très intéressant, les liens hypertextes aident à la compréhension de termes pas forcément évident. L’ensemble se lit très bien.

IZRI Antoine

Article bien écrit qui renseigne très bien sur les enjeux des énergies renouvelables pour l’avenir, de plus les hyperliens apportent un aide à la compréhension du texte.

MIAS Alexis

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Consommation d’énergie renouvelable : les éoliennes

Énergie éolienne en France depuis ces 20 dernières années.

L’énergie éolienne est un bien pour l’économie de la société mais elle peut nuire à l’environnement

Depuis ces 20 dernières années, les éoliens terrestres se développent en France. Une origine d’emplois et de croissance, l’énergie éolienne est avant tout une énergie renouvelable, propre, sûre et inépuisable. Notre époque est en mouvement, et nous sommes en train de passer de l’ancien monde à un monde nouveau. 

Production d’énergie en progression grâce aux éoliennes

Le secteur de l’énergie éolienne en France a pris progressivement de l’importance : en 2020, sa part dans la production nette d’électricité du pays atteint 7,6 % et le taux de couverture moyen de la consommation par la production d’origine éolienne a été de 8,8 % en 2020 après 7,2 % en 2019 et 5,9 % en 2018. Des évolutions technologiques ont notamment entraîné un quadruplement de la puissance des éoliennes depuis les années 2000, elles permettent de diminuer de façon continue les coûts de production du MWh éolien et d’accéder à des sites présentant des gisements de vent plus faibles. Depuis les débuts de l’éolien en France, les caractéristiques techniques des éoliennes connaissent une progression technologique soutenue.

Atouts et inconvénients des énergies éoliennes

L’énergie éolienne fait partie des énergies renouvelables, mise en place par la transition énergétique. Elle a pour but de lutter contre le réchauffement climatique en développant des énergies qui permettent de moins recourir à des moyens de productions exploitant des ressources fossiles. La France possède en effet le 2eme gisement éolien d’Europe ce qui augmente son taux d’énergie naturelle, propre et écologique. L’éolien est un des moyens de production d’électricité les moins émetteurs de gaz à effet de serre (12,7gcO2/kWh sur l’ensemble du cycle de vie d’une éolienne). Les éoliennes remboursent l’énergie qui a été nécessaire à leur construction en moins de 12 mois. On peut donc dire que c’est une énergie verte.Ces éoliennes peuvent être démontées pour être recyclées, elles peuvent être recyclable à 90 %. On peut voir 3 grands inconvénients majeures des éoliennes, l’énergie éolienne peut être imprévisible. En effet, les vents sont difficiles à anticiper et il faut savoir que, si une éolienne a besoin d’un vent minimum pour démarrer, elle s’arrêtera de fonctionner en cas de vents supérieurs à 90 km/h. Cette énergie est bruyante, elle perturbe les riverains qui habitent à proximité du parc éolien, mais aussi les éoliennes envoient des ondes à infrasons ce qui perturbent le comportements de certains bovidés. Enfin, les pales d’éoliennes représentent un danger pour les oiseaux. Effectivement, Les oiseaux ne distinguent pas les pales d’éoliennes lorsqu’elles sont en rotation, et entrent en collision avec ces dernières.

Enjeux de l’énergie éolienne pour le futur

Dans les années à venir, l’énergie éolienne va avoir un rôle important dans les bilans énergétiques français et européens. Pour que l’énergie éolienne se développe encore plus, certains défis sont à relever, grâce à des innovations techniques. Tout d’abord, on cherche à faire chuter les coûts afin de rendre ce mode de production d’énergie plus compétitif. Ensuite, on cherche à innover afin de mieux gérer le fait que cette source d’énergie soit irrégulière. En effet, les variations de puissance du vent induisent des variations dans la production d’énergie ainsi que de potentiels arrêts s’il n’y a pas assez de vent ou s’il y en a trop. Au delà de 100 km/h, elle s’arrête pour se mettre en sécurité et ne pas être endommagée. Cette irrégularité est commune à de nombreuses sources d’énergie, comme le solaire. On a donc appris à gérer ce phénomène, mais des améliorations peuvent permettre d’envisager de meilleurs rendements. On pourrait inventer des éoliennes qui fondront dans le paysage, les rendre plus silencieux et sans pales grâce à un système de vibrations produites sous l’effet des tourbillons d’air.

L’énergie éolienne : alliée de la société et ennemie de la biodiversité !

BARTHÉLEMY Théo, BTSA GEMEAU 1

l’article détienne des informations très intéressantes sur l’éolienne, mais on constate des manquements au niveau de la forme comme l’absence d’un accroche, d’une chute et des références.

SOW Cheikhouna

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L’influence de l’art face aux sociétés européennes actuelles :

L’art peut nous amener de la joie et du plaisir mais il peut aussi nous montrer le côté le plus sombre.  Notre article se base sur des sources récentes et factuelles en passant de la relation que la nature entretient  avec l’art, aux NFT qui tout en faisant partie de l’art impactent directement l’économie et même l’environnement. 

“ L’art regroupe les œuvres humaines destinées à toucher les sens et les émotions du public. Il peut s’agir aussi bien de peinture que de sculpture, vidéo, photo, dessin, littérature, musique, danse…”  L’art contribue à notre développement. Celui-ci peut être envisagé différemment en fonction des personnes : soit comme une aide, soit comme une contrainte comme la consommation énergétique du bitcoin qui dépasse celle de la Suède, cela peut être aussi bien les deux. Les sociétés européennes actuelles sont impactées dans biens des domaines par l’art en général dans tous ses aspects. Nous verrons dans un premier temps que l’art peut avoir des impacts dans nos sociétés européennes actuelles. Dans un second temps nous verrons comment l’art peut faire l’inverse.

L’art peut avoir des impacts dans nos sociétés européennes actuelles.

  • L’art influence le mode de vie des gens, leur façon de s’exprimer et de transmettre leurs émotions. Il permet, de par sa diversité, à chacun de s’exprimer avec ce qui est à sa portée au travers de la musique, de la conception d’objets physiques, du numérique et des réseaux sociaux. La nature, même la plus archaïque, est composée de biens qui permettent à l’Homme de divertir, de s’exprimer et de transmettre une culture de l’art souvent méconnue et surprenante. Nous pourrions dire aussi que l’art permet de lancer des sujets de conversation et de discussion. Pour que l’art soit intéressant, il faut juste que les personnes en parlent. C’est le cas de  ECHARD Mimosa et BONDI Bianca, qui se servent des organismes morts ou vivants pour produire de l’art notamment des peintures diverses ainsi que des représentations artistiques interactives avec des éléments tels que “le sel”. Ces artistes promeuvent ces pratiques de l’art qui restent naturelles et qui préservent l’environnement.
  • En outre, l’art nous permet de faire marcher l’économie. Grâce à ce moyen d’expression, des activités économiques se développent. Que ce soit par le biais d’œuvres vendues par les ventes aux enchères. Mais aussi parce que l’art peut nous amener à visiter un endroit particulier. Pour créer des œuvres d’art, nous devons demander l’aide d’autres personnes. Nous louons aussi des endroits pour pouvoir faire certains types d’art. Certaines œuvres ont été vendues pour des sommes astronomiques. En fonction de la somme dépensée, il faut rajouter les frais de ventes qui sont pour la société de ventes. Cela va permettre de faire marcher l’économie à travers le vendeur mais aussi via la société de ventes. L’art nous amène à visiter certains endroits, par exemple pour  les festivals de musique mais aussi parce que certaines œuvres ne sont pas ou ne peuvent pas être transportées. Pour tourner des films, on se doit de louer des quartiers entiers donc on fait marcher l’économie. A Lyon, certains quartiers ont été transformés par le street art ou avec l’accord de la mairie les artistes ont pu peindre sur les façades. Cela a permis au personnel de redécouvrir leur quartier et à d’autres de le découvrir.       
  • La nature nous offre, pour sa part, des sources d’inspiration nombreuses et permet de faire de l’art aisément. Toutefois, des normes sont appliquées afin de préserver cette nature généreuse. Dans les industries culturelles en France et en Europe, il existe des points de repère et de comparaison du Département des études, de la prospective et des statistiques, grâce aux enquêtes Eurobaromètres. Une étude faite par ce département s’interroge sur les raisons qui peuvent expliquer que certains pays européens acceptent mieux les mesures environnementales que d’autres pays. Cette étude rappelle l’importance de la situation économique pour expliquer cette acceptation des politiques publiques, elle montre qu’il existe d’autres facteurs explicatifs liés à la culture politique de chaque pays, et parmi lesquels le degré d’individualisation et de confiance dans les institutions. 

 L’art peut faire l’inverse.

  • Certaines manifestations artistiques peuvent amener de la peine. L’histoire de l’humanité nous l’a montré. Pendant la seconde guerre mondiale, le allemands nazis ont volé des œuvres d’art partout en Europe. Maintenant ces œuvres ont du mal à être rendues aux familles des propriétaires d’origine. Certaines œuvres font partie de notre quotidien et nous avons du mal à l’idée de plus les voir. Alors que pour certaines familles, ces œuvres font partie de leur héritage.   
  • En Europe, les professionnels de la culture s’investissent de plus en plus dans la lutte contre le changement climatique. Cependant la nouvelle tendance des NFT change la donne puisque les datacenters qui stockent ces NFT produisent énormément de CO2. D’après le site nft tokens.fr, « Un NFT est un certificat numérique, un jeton cryptographique qui lie le propriétaire et l’auteur à un actif unique, le rendant idéal pour le marché de l’art numérique ». Par rapport aux tokens fongibles, les NFT ne sont pas échangeables et sont donc protégés contre les copies et la destruction. Les NFT sont basés sur la technologie blockchain, l’application blockchain la plus connue est la monnaie numérique Bitcoin qui est un jeton fongible en tant que monnaie. La blockchain est une technologie de cryptage cryptographique qui enchaîne en continu des ensembles de données les uns avec les autres. Le centre pour la finance alternative de l’Université de Cambridge estime la consommation d’énergie de Bitcoin à environ 137 TwH par an (en mars 2021), ce qui correspond à toute la consommation d’énergie de la Suède. Malheureusement, cette nouvelle technologie prometteuse est tout sauf écologique ou même durable. Mais les premières solutions pour la technologie blockchain durable commencent à émerger.
  •  La culture n’a longtemps pas compté dans l’économie ou dans le PIB d’un pays. Pourtant elle y mérite sa place. De plus, la culture cinématographique lorsqu’elle est tournée profite aux commerçants qui voient leur économie croître mais c’est un inconvénient pour les habitants qui voient quant à eux leurs quartiers bondés, inaccessibles. On peut aussi citer un quartier à Lyon entièrement tagué, certains attachés au quartier sont contents de ces œuvres  qui permettent de redynamiser un quartier tandis que d’autres voient plus une dégradation de leur quartier et un manque de respect de l’architecture et du paysage français. L’accroissement des moyens du ministère de la Culture et des collectivités locales dans L’impact économique de la culture: réels défis et fausses pistes.

L’art influe directement sur la société actuelle de par ses impacts sociaux, économiques et environnementaux. En effet, À l’échelle européenne, un travail a précisément été mené pour mieux prendre en compte l’environnement à travers les programmes liés à la culture, comme Erasmus ou Europe créative. Avec pour maître mot la conditionnalité environnementale, qui consiste à faire du respect de l’environnement un critère de sélection pour valoriser un projet culturel. De plus, d’un point de vue social, l’art influence le mode de vie des gens, leur façon de s’exprimer et de transmettre leurs émotions. Il permet, de par sa diversité, à chacun de s’exprimer avec ce qui est à sa portée au travers de la musique, de la conception d’objets physiques, du numérique et des réseaux sociaux. Enfin, L’art nous amène à visiter certains endroits par exemple pour  les festivals de musique mais aussi parce que certaines œuvres ne sont pas ou ne peuvent pas être transportées. Pour tourner des films, on se doit de louer des quartiers entiers donc on fait marcher l’économie, il entre même aujourd’hui dans le PIB de la France. L’art prend de plus en plus de l’importance dans la vie sociale des sociétés actuelles peut-être que celui-ci sera un jour aussi important que l’économie d’un pays. Peut-être qu’un jour l’art de rue sera à pareil égard que les musées. 

Guillemot Thomas

Pierre Picard

  • BESSIERE Manon. Dépeindre son temps : la picturalité à l’ère de la mondialisation. Dumas, dépôt universitaire de mémoire après soutenance, (en ligne), 2015. (consulté le 17/01/2022). Disponible  sur : 

Dépeindre son temps : la picturalité à l’ère de la mondialisation – DUMAS – Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance (cnrs.fr)

  • BLIN Maurice. L’Europe et la culture. Sénat, un site au service des citoyens, (en ligne), 01/02/2001. (consulté le 17/01/2022). Disponible sur : 

https://www.senat.fr/rap/r00-213/r00-213_mono.html

  • DARTEVELLE RAYMOND, POIVERT MICHEL,  DE PABLO Elisabeth et SPUTO-MIALET Margot.  Archives audiovisuelles de la Recherche, Introduction au Colloque. Les élites économiques européennes et la création photographique.  Campus AAR, site HAL, projet financé par l’ANR, (en ligne), 13/11/2008. (consulté le 18/01/2021). Disponible sur :   

Introduction au colloque. – Campus AAR (campus-aar.fr)

  • ECHARD Mimosa et BONDI Bianca. Faire de l’art avec la nature. Arte, (en ligne), 03/09/2021. (consulté le 27/01/2022). 

Disponible sur : 

Faire de l’art avec la nature : Mimosa Echard & Bianca Bondi – Regarder l’émission complète | ARTE 

  • FENDLER Ute et VATTER Christoph. Dynamiques culturelles dans les cinémas africains du XXI siècle. Acteur, formats, réseaux. Université de Lorraine, (en ligne), 04/11/2020. (consulté le 17/01/2021). Disponible sur : 

Dynamiques culturelles dans les cinémas africains du XXIe siècle. Acteurs, formats, réseaux – Université de Lorraine (univ-lorraine.fr)

  • LAURENT Roxane. Part de la valeur ajoutée des industries culturelles dans le secteur marchand en 2011. Département des études, de la prospective et des statistiques. Ministère de la Culture et de la Communication, (en ligne), 2014. (consulté le 18/01/2022). Disponible sur : 

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  • LAURENT Roxane. Répartition de la valeur ajoutée dans les industries culturelles en 2011. Département des études, de la prospective et des statistiques. Ministère de la Culture et de la Communication, (en ligne), 2014. (consulté le 18/01/2022). Disponible sur : 

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  • LUSSO Bruno. Les musées, un outil efficace de régénération urbaine ? Les exemples de Mons (Belgique), Essen (Allemagne), et Manchester (Royaume-Uni). Cybergeo, revue européenne de géographie. Disponible sur Openedition Journals, (en ligne), 2009. (consulté le 19/01/2022). Disponible sur : 

Les musées, un outil efficace de régénération urbaine ? Les exemples de Mons (Belgique), Essen (Allemagne) et Manchester (Royaume-Uni) (openedition.org)

  •  NEGRIER Emmanuel et VIDAL Marion. L’impact économique de la culture : Réels défis et fausses pistes. Disponible sur HAL Open Science , (en ligne), 04/12/2009. (consulté le 17/01/2022). Disponible sur :  

L’impact économique de la culture: réels défis et fausses pistes (archives-ouvertes.fr)

  • STEINER Charlotte et  COURVOISIER François H. Les impacts des écrans tactiles dans les musées. La lettre de l’OCIM, (en ligne), juillet-août 2015. (consulté le 17/01/2022). Disponible sur : 

Les impacts des écrans tactiles sur les visiteurs dans les musées (openedition.org)

COMMENTAIRES :

Cet article est intéressant et les hyperliens nous renvoient à des définitions utiles. Ce sujet est différent des autres, il nous permet d’avoir une vision différente et je trouve cela particulièrement important d’avoir différents exemples. Les images sont simples, c’est un article intéressant. BEUCLER Lauryne

C’est un article très intéressant qui traite les différents aspect de l’art tout en restant simple et explicit. Il situe bien l’article avec notre temps en parlant du bitcoin et des NFT qui sont pour moi « l’art nouveau ». FOURNIER Timothé